Propos des autres... (1)

13 août 2007

En ces temps que l’on dit “de vacances”, temps que nous passons à faire tout ce pour quoi nous n’avons pas trouvé le temps en ... temps normal, je vous propose quelques plages de réflexion.

Rassurez-vous : ça ne va pas nous demander de bien gros efforts.

Ainsi, pour nombre de nos femmes et hommes politiques, il n’est peut-être pas inintéressant de se demander à quoi pensait Napoléon lorsqu’il expliquait que « Quand on dit d’un roi qu’il est un bon homme, c’est que le règne est manqué ! »

Aux “politiques” mais aussi à tous ceux et celles qui ont une parcelle de responsabilité, il n’est pas inutile de rappeler, avec Paulo Coelho, que « le provisoire, c’est l’inévitable ; le définitif, c’est les leçons de l’inévitable ». Vous me direz que cela vaut aussi pour vous et celui ou celle qui partage votre vie. Bien sûr que vous avez raison. D’ailleurs, personne n’a dit que vous n’êtes pas porteur de responsabilité...

A qui faut-il souffler que « la politique est un théâtre où l’injustice le dispute à la vérité ? ». À nous assurément et, par contre coup, aux autres. A mille et mille autres.

Ah !... Ici, je pense à un homme politique - et aussi à une dame de la même essence - et je leur dis à tous deux que « les ambitions démesurées sont rarement muettes ».

Quand elle siégeait - de 1998 à 2000 - au Conseil Régional, Nassimah Dindar m’avait glissé cette pensée d’Antonio Maccado : « Il faut avoir des ailes et des racines. Mais des ailes pour nous enraciner et des racines pour nous envoler... ». J’avoue m’en rappeler souvent et ne pas hésiter à la rapprocher, sans vouloir les confondre toutes deux, de celle que l’on prête à Nina Yomerowska : « Le sage cherche toujours à apprendre tandis que l’ignorant veut toujours enseigner »...

Celle-là aussi n’est pas mal, tellement elle colle parfaitement aux gesticulations verbales d’un élu local dont on sait qu’il n’est pas en odeur de sainteté dans sa propre famille politique (qui n’est pas d’ailleurs son camp d’origine). Elle est de José Narosky : « Moins un homme a de la valeur, moins il en reconnaît aux autres... »

C’est terminé pour aujourd’hui. Mais ça se poursuit dans notre prochaine édition...

Raymond Lauret


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