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21 juillet 2006
"La France mérite une femme comme Ségolène, M. Esquer !" a lancé, (voir l’édition d’hier de “Témoignages”) M. Michel Bouichou, dans un cri venu du cœur en réponse à la longue lettre du responsable écologique qui, il y a une dizaine de jours, n’était pas allé avec le dos de la cuillère pour dire que "Madame Ségolène Royal ne mérite pas d’être présidente" !
Amour contre désamour ? Non, bien sûr... Le débat est tout autre.
Il a lieu dans le P.S. en tout premier lieu. Et, dit-on du côté de la rue de Solférino, cela est dans la logique d’un parti fait de courants, lesquels se rallieront lorsque tout aura été dit et que le choix aura été fait par les militants.
L’ennui, c’est que tous ceux et toutes celles nombreux et nombreuses qui, le moment venu, seront appelés à choisir, ne sont pas concernés mais sont consternés par l’actuel débat qui déborde hors des murs du “parti”. Ils vivent en direct parfois, par la presse pleinement et quasi quotidiennement, les altercations qui amènent plus d’un à douter de l’efficacité voire de la crédibilité de ce qui en ressortira en cas de victoire finale. Le doute : le voilà qui s’installe, le fameux doute ! Et Fabius, Jospin, Rocard et bien d’autres encore ne se privent pas de le dire.
François Mitterrand avait la stature qu’il fallait pour que, d’eux-mêmes, les leaders des courants mettent plusieurs bémols à leurs frustrations et acceptent que l’élan fédérateur soit constamment l’élément à prendre en compte.
Mitterrand a eu beau avoir pactisé avec Bousquet, il a eu beau avoir joué dans les jardins de l’Observatoire le rôle d’un héros, discuté dans une mise en scène un peu gros doigts, il a eu beau avoir été Ministre quand il fut décidé depuis Paris que l’on bourrerait les urnes à La Réunion, nous pouvions, là-bas et ici, considérer que l’homme avait de l’envergure et, partant du principe que tout peut évoluer voire se bonifier, nous lui avons fait confiance, là-bas et ici, pour faire avancer certaines de nos grandes orientations. À Gillot, en janvier 1988, on s’en souvient, il a donné à bien des gens de son camp une sacrée leçon de réalisme et d’intelligence politiques...
Est-il possible, aujourd’hui que François Mitterrand n’est plus et que celui qui semblait être en mesure de poursuivre son œuvre, Lionel Jospin, est contesté par ceux-là même qui jouent la carte Ségolène, de retrouver une femme ou un homme pour rassembler ce qu’il est convenu d’appeler “la gauche” ? Comme François Mitterrand fut l’homme de la “France Unie” derrière sa “Force tranquille” ?
L’heure et le vide (!) auraient-ils pu favoriser l’émergence de Ségolène Royal ? On a envie de penser qu’il est bien dommage que, comme l’a fait M. Michel Bouichou dans sa supplique non dépourvue d’émotions, certains aient réduit l’épouse de François Hollande à son intérêt pour les seuls problèmes liés à la sécurité et à la délinquance et aient trop souligné qu’elle est femme. De même, l’on peut s’interroger sur l’efficacité de l’opinion émise par Gilbert Le Bris, député-maire PS de Concarneau, quand il déclare que "tout est beauté avec elle, c’est Sainte Ségolène portée au pinacle". Ce qui fait oublier que, bien plus réaliste, Charles Kermarec de Rennes voit en elle simultanément "la dureté de la pierre et la dureté du diamant".
R. Lauret
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