Tristes commanditaires...

10 octobre 2005

Ce samedi 8 octobre, j’ai tenu à exprimer à Nassimah Dindar toute ma solidarité après l’article écrit pour salir et paru en page 10 du “JIR”. Un article tout ce qu’il y a de plus odieux et qui, partant d’un fait réel et qui pouvait effectivement mériter d’être porté à la connaissance des lecteurs (un cadre du Conseil général remercié a vu le Tribunal administratif ordonner l’annulation de son licenciement), dérape vers d’inacceptables sous-entendus sur la vie privée supposée à venir de la présidente de l’Assemblée départementale. Odieux : il n’y a pas d’autre mot.
L’article montre, on ne peut plus clairement, que certains sont prêts à n’importe quoi et à tout pour descendre une personne dont le positionnement et l’image pourraient gêner leurs ambitions.
Il n’est pas difficile de voir dans quel camp se situent ceux qui peuvent trouver de l’intérêt avec un tel papier. Là, le but est de démolir moralement une personne et d’amener la population à se dire qu’il n’y a sûrement pas de fumée sans feu. On ne stigmatise pas, on n’attaque pas, on ne révèle pas, alors qu’on pourrait le faire sur bien des sujets. On ne commente pas non plus, avec la probabilité de se tromper. Non, on se contente de salir, sachant que la personne visée n’a pas d’autre choix que de se refuser à répondre par quelque voie que ce soit.
Tristes commanditaires qui croient que c’est comme ça qu’on avance en politique... quand on est un mec et que l’on a face à soi une femme.

R. Lauret


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