
Désaccord entre les canniers et les usiniers, toujours pas de date pour la récolte
8 juilletLes planteurs et usiniers réunis en commission mixte d’usine dans le sud le 7 juillet ne sont pas parvenus à un accord. Dans un contexte où la (…)
10 zanvié 2008
Koméla, si ou lé modèrn wi fizi lo trann-sinq-èr, akoz sa la pa bon. La prèv ? Mèm lo prézidan la Répiblik i sort di li vé fini èk sa lané 2008. Lé vré, vik bann patron i di sa galman ! Ou pé dir, bann patron i koné z’ot afèr. Bann moun anlèr, nana rézon toulbon.
Solman, ala ni aprann lo trann-sink-èr la pèrmète donn travay 400 mil pèrsone. I di ankor, é sa la pa in mansonzri, bann travayèr i travay plis ankor, i produi plis. Ni aprann ankor, malgré lo trann-sink-èr, l’État i doi tank sé t’asé bann polisié, bann médsin, bann zinfirmièz épi d’ot moun ankor : I fodré zot i trouv toutsuit pou toutsuit 1 miliar pou pèy bann z’èr sip. Oui, dalon !
Alé oir l’État, i di, son po d’fès lé dann son min ; li sar pa distribié larzan li la poin. Si lé vré, li la poin, akoz li la diminié zinpo pou demoun nana lo pourkoi ? Bin alor, akoz kontinié di : « Travay plis, pou gingn plis larzan ! ». Oui, mé si i pèy aou avèk shèk-an-boi, sansa la moné zako, kossa i ansèrv aou ? Biensir banna nana bon-bon parol pou andor anou. Zot parol lé konm do mièl mé solman : parol an mièl i sar pa la boutilk èk sa !
Justin
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Mézami bann marmaye lékol dopi étan pti ziska étan jenn-jan lé an vakanss é mi souète azot ropoz azot in pé an atandan la rantré i ariv… In rogré (…)
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Médam, zé Méssyé, la sossyété, zot i koné bann franssé i di konmsa : « la kolèr lé movèz konséyèz » é dann kozman kréol ni rotrouv anou mèm pwin (…)
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Bann modékri andann forom
10 zanvié 2008, 03:10
Mon cher Justin, pour une fois nous sommes à peu près d’accord, surtout lorsque tu soulignes que les 35 heures ont permis l’embauche de 400 mille personnes, ce qui nous conduit à une question de fond que je n’entends jamais poser.
Qui a inventé qu’il fallait travailler 40 heures ou 35 heures ? Certes pas l’ouvrier dont on comprend l’empressement à retourner vers sa famille le plus rapidement possible. Qui, sinon le patron ? Cela semblait se justifier à l’époque où l’usine tournait à bras d’homme. Aujourd’hui, avec la gestion robotisée, un homme seul derrière un clavier fait le travail d’une cinquantaine de personnes. Et les bénéfices sont multipliés par cinquante au seul profit du patron.
Alors, je propose un calcul simple : que l’on calcule le besoin en heures de travail tous domaines confondus au niveau de toutes les entreprises et administrations de France, et que l’on divise par le chiffre de la population active : ce serait amusant si l’on s’apercevait qu’il suffit d’une dizaine d’heures pour faire tourner la machine.
Rien ne nous incline naturellement au travail : le travail doit rester au service de l’homme, et non le contraire.