
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Point de vue
16 octobre 2013
Il n’y a pas de jours, où les médias ne nous relatent pas des faits d’insécurité dans nos villes. Les médias en continu, nous informent sur les viols, les cambriolages, les agressions physiques. Un climat d’insécurité et de peur s’installe dans les cœurs, une peur collective envahit les citoyens, qui se méfient et suspectent tous ceux qui leur paraissent étrangers. Ils s’interrogent, se demandent par quelle manière, ils peuvent contribuer à rétablir la sécurité dans leur cité.
Le sentiment d’insécurité prime sur les situations d’insécurité
Les nombreux faits divers relatés ici et là, et colportés par nos médias, donnent à croire à un phénomène généralisé auquel plus personne n’est épargné et qu’aucune personne ne peut lutter efficacement contre. Cette atmosphère inconfortable peut montrer que l’insécurité peut paraitre une affaire de subjectivité. Le sentiment d’insécurité vient de beaucoup, des médias qui donnent plus de gravité au caractère des faits cités. Ils grossissent l’information et la dramatisent parfois. Un fait peut être rapporté différemment et, selon l’informateur il peut susciter plus de climat d’insécurité par la manière dont les individus en font écho. Et en écoutant trop ceux qui se sentent accablés par la peur de l’insécurité qu’on communique, certains sont ainsi gagnés par cette psychose des lieux sensibles à éviter, alors qu’il n’en est rien de grave à faire créer la panique dans les cœurs.
La mauvaise répartition des populations et le déséquilibre dans la redistribution des richesses induisent des situations d’insécurité sociale, qui semblent pousser certains citoyens à commettre des délits répréhensibles. Même si parfois, des cas isolés de délits commis par certains agents des forces de l’ordre sont amplifiés et dénoncés par les médias, ils ne sont pas si importants pour en faire une généralité et dire qu’ils sont tous « pourris ». Ce ne sont pas eux qui constitueraient de menace pour la sécurité du citoyen. Au contraire, ils restent par leur fonction, ceux qui protègent et assurent la sécurité publique. Le mélange savamment dosé des populations de communautés diverses peut être une réponse à l’insécurité sociale. La ghettoïsation d’une partie des citoyens présente plus de danger à la sécurité des citoyens qu’à l’intégration dans les villes où ces derniers participeront à sa construction. L’organisation sociale produit l’insécurité, avec des quartiers de riches séparés de ceux des pauvres, elle suscite des frustrations et déclenche des convoitises qui parfois ne sont pas de nature à apaiser les relations de voisinage entre ceux qui aspirent à la paix et ceux qui vivent leur bruit comme une passion. La différence de centre d’intérêt peut occasionner l’insécurité chez les uns. L’individualisme très prononcé de la plupart des concitoyens empêche aussi la communication entre les voisins.
La sécurité des citoyens doit être l’affaire de tous.
Nul ne peut rester insensible à la problématique et chaque citoyen peut considérer l’éminence de son rôle dans la construction de la paix et la tranquillité dans sa ville. La responsabilité du citoyen ne serait-elle pas engagée quand au quotidien, il détourne son regard de tous faits d’incivilité ? Or sa réaction semblerait logique, s’il intervenait pour secourir ceux qui sont dans la détresse ou victimes d’actes de délinquance. Ou encore s’il ne respectait pas les biens publics et ne respectait pas les forces de l’ordre et de protection sensés assurer la tranquillité dans nos villes. La faillite dans la communication entre les voisins renforce la méfiance entre les personnes qui ne se parlent pas, et peuvent avoir des comportements suspects. On change de trottoir dès qu’on aperçoit un étranger arriver. Une passerelle de communication servirait à l’instauration de la solidarité intergénérationnelle qui rétablirait la confiance et briserait les barrières artificielles soutenues par les idées préconçues que les uns peuvent avoir envers les autres.
Néanmoins des précautions sont à prendre
Le changement du regard sur les autres éviterait cette attitude agressive qui marque la peur de l’autre et montre le sentiment de mépris. Le citoyen doit se sentir acteur responsable du milieu dans lequel il vit. Et de ce fait, il apportera sa contribution à la protection des biens et des personnes en prônant le dialogue, en collaborant avec les forces de l’ordre. Il doit se voir en première ligne, ceux qui prendront des initiatives pour créer ou renforcer les mouvements citoyens de défense de leur environnement, en intervenant face aux incivilités du quotidien. L’usage des outils modernes de protection comme la caméra aiderait à la lutte contre les actes de vandalisme ou les violences gratuites sur des personnes physiques. La généralisation des caméras de surveillance serait plus efficace que si elle ne s’arrêtait pas seulement à la protection de quelques de banques. L’éducation plus centrée sur l’instruction civique, surtout auprès des écoles et dès le plus jeune âge, sensibiliserait les futurs citoyens aux problèmes de sécurité à défendre. Les médias participeraient aussi à cette éducation des masses en agissant par leur côté pédagogique auprès du citoyen encore ignorant des causes qu’il peut créer à autrui. Ce rôle doit en premier lieu être relayé par les parents. La lutte contre la pauvreté, en facilitant l’accès au logement des plus démunis serait un levier pour éviter les problèmes d’insécurité liés à la précarité, par exemple. Autrement dit, la sécurité doit être l’affaire de tous et tous les citoyens doivent s’y intéresser.
Bienvenu H. Diogo
Mézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique « n’a toujours pas de cadre contraignant et ne prend toujours pas en compte les (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Dann in famiye néna touzour inn pou fèr lo gran. Li yèm okipe d’ shoz lé pa d’son az. Sé pou sa i di, li fé l’onm d’afèr. Mi rapèl in zour mwin (…)
La CGT exige un référendum pour "sortir par le haut" et "rassembler le pays" après l’échec du "conclave" pour "que les Françaises et les Français (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Le conclave des retraites initié par le premier ministre, François Bayrou, pour éviter la censure de son gouvernement, devait s’achever le 17 juin (…)
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Près de 12 millions de réfugiés ont trouvé protection dans les 46 États membres du Conseil de l’Europe.
Dans le cadre d’un partenariat avec l’Union européenne, le Département organise, le samedi 21 juin au Village Corail (L’Ermitage-les-Bains), un (…)