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1er juin 2011
Le Titre comme signe linguistique a des facettes dont certaines sont dissimulées et d’autres sont apparentes et très exposées. Ces bénéficiaires en usent, et ceux qui l’observent et l’analysent veulent le démasquer. Titre, visage et masque sont de la même échelle de vie qui cache certaines réalités.
Les Titres président, directeur, archevêque, docteur, professeur, etc. sont des vitrines supposées de trucages patronymiques et de filiations arrangées, de noms impropres ou usurpés. Le Titre, c’est un processus d’hypnotisation mis en place pour installer le vis-à-vis dans l’inconscient et le subordonner à son bon vouloir. L’inconscient ne perd pas la mémoire, seulement il oublie ce qu’il sait, et pour ne pas accéder à la vérité qui lui est proposée, il réagit. Le Titre, cette falsification du réel, que ce soient des réalités matérielles ou immatérielles, nous interpelle et suscite nos interrogations et des débats.
Le Titre est un signe
Le mot “Titre”, signe linguistique dont le signifié, c’est-à-dire les idées qu’il incarne sont représentées par un visage humain, le signifiant (le représentant). Cette association contre-nature de concept et de réalités présente une entité morale absoute de tout soupçon, et un représentant humain très exposé qui doit “se masquer” pour paraître en public. Il cache son identité puisqu’il doit répondre au nom d’un groupe social dont il se fait le porte-parole. Dans cette situation, où il n’est pas tout seul à décider, où il n’est plus lui-même, il devient un être de représentation, la voix d’un groupe, un visage de formation de sa société qui lui dicte ses faits et gestes. De fait, il se donne une personnalité pour paraître et doit user de tout son charme pour conquérir un public, se faire accepter pour paraître. L’exercice est tellement délicat qu’il peut avoir des revers. Ce dépositaire de mandat est habillé dans un costume qui le hante, il a le plus besoin de se protéger tellement qu’il est en vue. Blaise Pascal, qui comprit son handicap, avertissait du danger quand il stipulait : « Je lui présente mon défaut pour l’empêcher d’y tomber ». Il ne peut rien comprendre à cela, car il est pris dans un engrenage qui le rend taillable et corvéable à merci. Il fait désormais partie d’une élite de représentants qui se croient omnipotents et omniscients, pleins d’esprit s’en fait sans génie, abondant en signes et stériles en idée.
L’orthographe d’un signe linguistique que nous appelons « mot » peut être modifiable, mais pas ses sens possibles qui sont infalsifiables, de même le signifié du Titre que nous nommons « concept » (les donneurs d’ordre) reste inattaquable, car invisible, c’est l’objet-sujet apparent, le signifiant du Titre qui sera visé. Ce signifié est donc protégé, car il ne contracte aucun rapport intérieur avec le signifiant. On voit donc l’arbitraire du signe qui fait peser toute la responsabilité sur la personne élue, qui est obligée d’utiliser toutes les ruses, toutes les duperies pour s’assumer.
Le nom, un Titre patronymique
Comme Diogo et Mémose, la soif de paraître et d’être reconnu célèbre peut parfois conduire certaines personnes avides de Titre patronymique à adopter par tricherie le nom Diégo pour Diogo, en souvenir du nom du célèbre joueur de la Coupe du Monde de 1992, ou encore d’autres à se faire appeler Mimose au lieu de Mémose, parce qu’il s’agit d’une fleur au parfum très agréable. Ces commutations de voyelles “o” en “é” et de voyelles “é” en “i” montrent par ses falsifications l’insatisfaction permanente des individus qui cherchent à avoir plus qu’ils n’en ont, et qui passent par la triche.
En concurrence avec le visage, le Titre dans les épreuves de l’identité laisse à celui-ci l’authentique et le vérace, tandis que lui verse facilement dans le code et l’artifice. Et pourtant, pas plus qu’un Titre, le visage ne représente ni authenticité, ni vérité. La recherche effrénée de reconnaissance sociale et le désir de paraître font du Titre un agent détestable, et haïssable. Le visage qui incarne le Titre a un besoin immédiat d’aveu qu’il n’ose exprimer et il oscille entre ce qu’il scelle et ce qu’il cèle.
Bienvenu. H. Diogo
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