
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Point de vue
1er décembre 2010
Les hommes évoluent différemment, chacun avec ses capacités et ses domaines de compétences.
L’école, à l’image de la société instable, traverse des turbulences, et la définition de l’univers des apprentissages scolaires se pose et interpelle le peuple. La prolongation de la scolarité obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans (en 1959) et la massification de l’enseignement secondaire (1975) ont engendré des problèmes nouveaux auxquels on ne s’est pas préparé, mais il faut y faire face. Le métier de l’enseignant change du coup et doit s’adapter aux conditions nouvelles pour répondre aux attentes de la société. Ainsi l’enseignant n’est plus le même comme du temps de Jules Ferry. Ce qui relevait de l’autorité du maître laisse désormais place au professionnalisme. L’enseignant doit inventer pour apporter une réponse à chacune des situations nouvelles qu’il rencontre. A lui de prouver sa compétence et d’intéresser les élèves.
Hier encore, le maître transmettait son savoir en imposant sa loi, ce qui n’est plus possible. Aujourd’hui, il apprend à l’élève, il lui permet de s’approprier le savoir. L’enseignant n’est plus censé tout savoir, son objectif n’est plus de faire le professeur de sa matière comme il le faisait pendant des années en classe, en ignorant ce qui se passe chez ses collègues et ce qui inquiète ses élèves. Ce regard nouveau change la pratique du maître qui travaille désormais avec des partenaires extérieurs à l’enseignement à proprement parler, comme les conseillers d’orientation, psychologues, assistantes sociales, infirmières… ou des associations qui jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement scolaire ; jumelage avec des entreprises, projets d’action éducative. L’enseignant doit accompagner chaque élève dans la construction de son projet professionnel pour réussir son orientation puis sa vie, au-delà des acquisitions de base. C’est donc avec ses nouveaux interlocuteurs que cela est possible pour prospecter de nouveaux espaces éducatifs. Le maître se trouve aujourd’hui projeté dans un monde auquel il ne s’est pas encore trop adapté.
On serait peut-être tenté de croire que l’école se défausse vers des partenaires extérieurs, mais la réponse serait tout autre si l’on ne tient pas compte des capacités des élèves à réussir dans d’autres domaines de formation que celle initiale.
Faire passer l’élève de l’enseignement à l’apprentissage est une seconde voie sérieuse et réfléchie qui peut être proposée à certains élèves qui mettent leur intelligence dans la voie professionnelle. Pour le gain de temps et pour une prise en charge des capacités de chacun des élèves, ce ne serait pas une mauvaise idée de mettre, dès le collège, les élèves en contact avec le monde professionnel, à travers des stages d’initiation aux métiers et à des organisations fréquentes ou annuelles des forums des métiers au sein des collèges, avec le soutien des professionnels ou des associations comme le Lion Club ou le Rotary Club, ou autres, qui accordent bénévolement leurs services en mettant à disposition les compétences professionnelles de leurs membres ou de leurs connaissances. Tout nous montre aujourd’hui que l’enseignement ne doit plus être abordé comme par le passé et que certains élèves s’épanouiront et réussiront à merveille leur vie future en classe d’alternance, où ils bénéficieront à la fois des savoirs de base et la possibilité d’immersion dans le monde du travail par la découverte des métiers.
Il est donc impérieux de considérer, sans craindre le démenti de l’histoire, qu’une des pédagogies capables de développer (chez l’apprenant) son intelligence et son adaptation aisée à des situations nouvelles est de promouvoir les qualités et les compétences humaines nécessaires pouvant aider les jeunes scolarisés à s’insérer le plus harmonieusement à l’avenir dans le monde du travail. Tout cela appelle donc un choix, et ce choix, c’est aussi l’initiation précoce à la découverte des corps de métiers.
Bienvenu H. Diogo
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