
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
100 noms pour le 10 mai avec la MCUR
17 avril 2010
Dans le cadre de la Journée de commémoration nationale des mémoires de la traite négrière de l’esclavage et de leurs abolitions du 10 mai, l’équipe scientifique et culturelle de la MCUR a dressé cent portraits de femmes et d’hommes de divers pays qui, par leurs actions, ont défendu les idéaux d’égalité et de liberté. Chaque jour, “Témoignages” publiera quelques fiches.
Madame de Duras est née à Brest en 1777 d’un officier de marine, favorable à la cause de la Révolution, mais parce qu’il est opposé à la condamnation de Louis XVI, est décapité en 1792. Après un séjour à la Martinique, où son père avait laissé des biens et d’où sa mère était originaire, puis aux États-Unis, et en Suisse, Madame de Duras s’établit à Londres, où elle épouse Amédée de Duras, dont elle aura deux filles. De même que de nombreux aristocrates, elle rentre en France fin 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire.
C’est lors de son séjour à Londres qu’elle rencontre l’écrivain François-René de Chateaubriand, qui l’encourage fortement à publier ses romans.
Le premier d’entre eux, “Ourika” (publié en 1823), retrace les déboires amoureux d’une jeune Africaine qui, ne pouvant épouser l’homme qu’elle aime à cause de la couleur de sa peau, se retire dans un couvent pour se laisser mourir.
Dans ses ouvrages, Claire de Duras traite de sujets complexes et controversés, avec principalement des personnages opprimés et marginalisés que leur couleur de peau ou leur origine sociale empêche de connaître le bonheur. L’égalité, tant raciale que sexuelle, est au cœur de ses livres.
Sans doute trop en avance sur son temps, son œuvre littéraire, longtemps considérée comme de petits romans sentimentaux sans importance, a été marginalisée jusqu’au 20ème siècle.
Son premier roman, “Ourika”, a été publié en 1823.
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