
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
100 noms pour le 10 mai avec la MCUR
23 avril 2010
Henri Baptiste Grégoire est né le 4 décembre 1750 dans la paroisse de Vého près de Lunéville. Homme de religion, l’Abbé Grégoire est également homme politique. Il rejoint le Tiers-État pour y réclamer non seulement l’abolition totale des privilèges et de l’esclavage, mais aussi l’instauration du suffrage universel.
À la suite de la révolte des esclaves de Saint-Domingue (en août 1791), l’Abbé Grégoire et la Société des Citoyens de Couleur organisent, au sein de la Convention, une mise en scène symbolique afin de hâter le vote de l’abolition de l’esclavage. Ils décident de reprendre une cérémonie qui avait été célébrée le 23 octobre 1789.
Ce jour-là, un ancien serf du Jura, âgé de 120 ans, était venu remercier les députés d’avoir supprimé le servage en votant l’abolition des privilèges lors de la nuit du 4 août 1789. À la demande de l’Abbé Grégoire, les députés s’étaient levés pour l’acclamer. La cérémonie relative à l’esclavage a lieu le 4 juin 1793. La convention reçoit une délégation de la Société des gens de couleur. À la tête de la délégation se trouve Jeanne Odo, une ancienne esclave de Saint-Domingue âgée de 114 ans. La délégation porte un drapeau tricolore où sont peints 3 personnages : un “noir” sur la bande bleue, un “blanc” sur la bande blanche et un métis sur la bande rouge. La devise du drapeau est « Notre union fera notre force ».
Les députés se lèvent pour acclamer la délégation, et le président de séance installe Jeanne Odo à ses côtés. L’Abbé Grégoire prend alors la parole. Il établit un parallèle avec la cérémonie en l’honneur de l’abolition du servage et demande à la Convention de faire disparaître « l’aristocratie de la peau » et donc d’abolir l’esclavage. La première abolition de l’esclavage dans les colonies françaises sera décrétée le 4 février 1794.
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