
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
100 noms pour le 10 mai avec la MCUR
24 avril 2010
Jena Kina est né vers 1755 à Saint-Domingue. Esclave, il refuse cependant plusieurs fois sa liberté, avant de finalement l’accepter.
En 1792, il devient chef d’un bataillon de plus de 200 Libres de couleur, à la solde des planteurs de Saint-Domingue. Sous ses ordres, les hommes du bataillon écument les montagnes de l’île pour prendre en chasse les marrons. Ils remportent de nombreuses victoires, et leurs services sont très appréciés des colons.
En 1798, Kina est contraint de quitter Saint-Domingue, et c’est ainsi qu’il se retrouve, entre 1800 et 1801, à la Martinique. Dans cette île, il prend conscience des atrocités que subissent les esclaves, et décide alors de lutter pour la liberté.
Un membre du Conseil colonial de la Martinique raconte : « Il était parti de Fort Royal, dans la soirée du quatre octobre 1800, pour aller établir un camp sur le Morne Lemaître. Il avait passé, avec sa petite troupe, par la Case Navire et quelques habitations pour y faire des partisans. Il déclarait qu’il venait de la part de Dieu et du Roi, et il portait un drapeau sur lequel était écrit : “La Loi britannique”. Il était chargé, disait -il, de protéger ses frères, parce que les Colons étaient des bourreaux et des mangeurs de chair humaine ; qu’ils faisaient avorter les négresses à force de travail et qu’ils étaient décidés à vendre les nègres libres ».
En 1801, dans la région du Carbet, avec une vingtaine de compagnons de combat, Kina est à la tête d’un soulèvement, forçant ainsi le pouvoir colonial à la négociation. Ce qu’il souhaite : l’amnistie générale pour tous les esclaves. Mais l’esclavage ne sera aboli en Martinique qu’en 1848. On ne connaît pas la fin de sa vie.
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