
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Au sommet de l’Organisation internationale de la francophonie
30 novembre 2004
(Page 16)
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a souligné dans une résolution rendue publique samedi à Ouagadougou (Burkina Faso), le "rôle fondamental de la culture comme l’un des piliers du développement durable des peuples".
Elle a également reconnu le droit des États et des gouvernements à maintenir, établir et développer des politiques de soutien à la culture et à la diversité culturelle dans le respect de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et dans un esprit d’ouverture aux autres cultures du monde.
Dans cette résolution portant sur l’aide aux pays dits les moins avancés (PMA) dans le domaine de la diversité culturelle, l’OIF reconnaît aussi l’engagement pris au sommet francophone de Beyrouth (2002) de contribuer activement à l’adoption, par l’UNESCO, d’une convention internationale consacrant ce droit.
À cet égard, les membres de la famille francophone décident de contribuer à la préservation de leurs patrimoines culturels grâce à des plans concertés d’intervention, de sauvegarde et de protection, mais aussi de soutenir les créateurs de leurs pays par des aides à la création et à la diffusion de leurs œuvres.
Ils ont également décidé d’approfondir leur coopération bilatérale dans ces domaines, de même que dans le transfert de connaissances et d’expertises en matière de politiques publiques au bénéfice des pays en développement, afin de favoriser la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles.
La résolution a été publiée à l’issue du 10ème sommet de l’OIF qui s’est déroulé pendant deux jours en présence d’une trentaine de chefs d’État et de gouvernement du 26 au 27 novembre derniers.
An plis ke sa
Contre la fracture numérique
Les chefs d’État et de gouvernement de la Francophonie ont lancé un appel pressant samedi à Ouagadougou à toutes les parties prenantes au processus du Sommet mondial sur la société de l’Information (SMSI). La résolution appelle "toutes les parties prenantes au SMSI, notamment la société civile et le secteur privé, à participer activement au processus préparatoire du Sommet (prévu en novembre 2005 à Tunis) et à contribuer à son financement à travers le Fonds d’affectation spécial établi par l’Union internationale des télécommunications".
Il s’agira, en outre, de tout faire pour "conduire le SMSI à l’établissement d’un véritable partenariat entre tous les acteurs concernés dans la perspective de réduire la fracture numérique et de consacrer les technologies de l’information et de la communication comme vecteur stratégique de développement économique, social, politique et culturel".
La résolution lance enfin un appel appuyé pour assurer une large participation des chefs d’État et de gouvernement au sommet de Tunis.
Engagement à lutter contre la pauvreté
Le 10ème sommet de l’OIF s’est résolu à intensifier la lutte contre la pauvreté et pour le développement durable. Le sommet a adopté, dans ce sens, un cadre stratégique décennal que les chefs d’État et de gouvernement ont salué comme ouvrant la voie à "une éthique nouvelle de développement".
Ce cadre stratégique décennal repose sur la solidarité, la justice, le commerce équitable, la diversité culturelle et linguistique, le respect d’autrui, la préservation de l’environnement et l’élargissement de la ceinture de sécurité sanitaire.
Les participants, dans leur grande majorité, ont insisté sur l’établissement au sein de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), d’une solidarité vraie dans le cadre d’une coopération multilatérale rénovée et repensée. Pour cela, le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Alpha Ouma Konaré, a fait remarquer que cette coopération internationale doit être perçue comme un droit que les plus nantis se doivent de contribuer à asseoir et à garantir, en faisant preuve de solidarité perçue comme un devoir. Quant aux chefs d’État, ils ont insisté sur l’effacement total de la dette de l’Afrique, qui pourra engager le continent sur la voie du développement. Car, selon l’hôte du sommet, le président burkinabé, Blaise Compaoré : "si les populations sont préoccupées par des questions quotidiennes de survie et par l’ignorance, il sera difficile de prétendre à un développement durable".
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