
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Première Journée nationale de réflexion de l’UNESCO à La Réunion “Du dialogue interculturel et intercultuel pour une culture de paix”
17 novembre 2006
Le 6 juin 2006, suite à la réunion des Chaires de France, la Commission Française pour l’UNESCO a confié à la Chaire de l’Université de La Réunion la mission d’organiser, à l’occasion du 60ème anniversaire de l’UNESCO, la première Journée nationale de réflexion sur le thème : “Dialogue interculturel et intercultuel pour une culture de paix”. Un thème au centre de nombreux débats à La Réunion et dans le monde abordé hier dans l’hémicycle de la Région en présence de 6 présidents de Chaires françaises de l’UNESCO.
Face à la mondialisation des échanges et à l’uniformisation des cultures dont elle se nourrit, La Réunion est citée en exemple, vue de l’extérieur comme une société pacifiée où cohabitent religions et cultures en harmonie. Mais comme le soulignera Alain Armand, Vice-président de la Région, et d’autres intervenants dans la salle, « il faut se méfier des effets de mirage, de miroir qui posent La Réunion comme modèle ». Si le thème de l’interculturalité et de l’intercultualité trouve une résonance particulière à La Réunion, « cadre symbolique par sa société et son histoire », comme le soulignera Daniel Baillon, Secrétaire général de la Commission française de l’UNESCO, en revanche, c’est la (re)connaissance, le respect des différents apports culturels qui nourriront l’esprit de tolérance dont notre société a besoin pour construire une identité partagée, pour forger son unité.
« Apprendre à écouter l’autre »
Dans cet objectif, le savoir et sa transmission sont des éléments clés car c’est l’accès de tous à l’éducation qui nous permettra à terme peut-être de forger un nouvel humanisme tourné vers le monde et l’autre. La tolérance n’est pas un acquis. Elle s’apprend, se cultive, se défend. Pour Serge Svizzero, Président de l’Université, cette dernière joue un rôle majeur car « c’est le lieu où l’on crée et transmet le savoir, vecteur pour combattre l’intolérance ». La Chaire de l’Université de La Réunion aide ainsi à la transmission de valeurs fondamentales : respect de l’autre, de son identité, de son droit à un travail ; respect de la société, de sa cohésion dont le ferment, ici la famille dans le sens intergénérationnel, tend à s’effriter ; respect de l’environnement dans lequel nous vivons.
Et Alain Armand, Vice-président de la collectivité, de poursuivre en affirmant que « le vivre ensemble n’a de sens que s’il repose sur des valeurs (...). L’éducation, la culture, le respect sont les premières armes pour lutter contre toutes les guerres ». Et ce vivre ensemble réunionnais « ne peut se résumer à une juxtaposition de groupes, d’ethnies, mais se décline dans le syncrétisme, le métissage, le dialogue, l’échange ».
Mais le dialogue, s’il est souhaité, ne va pas de soi. À La Réunion, comme à l’échelle du monde, la libéralisation des échanges économiques a paradoxalement engendré l’individualisme, le repli. Si nos approches religieuses, cultuelles, culturelles, nos concepts sont différents, admettons alors qu’ils sont complémentaires. « Nous devons apprendre à écouter l’autre dans la plus grande des tolérances, invitera Daniel Baillon. Nous sommes tous ici très diplômés, mais quels que soient nos diplômes, nous sommes tous d’éternels apprentis ».
Un vrai travail de restitution des apports
Apprendre à écouter mais aussi apprendre à dépasser les préjugés pour s’ouvrir à l’autre. « Nous vivons aujourd’hui dans un monde binaire : le bien/ le mal ; le beau/ le laid ; le blanc/ le noir... nous devons partir de ce constat pour aller au-delà de cette dualité... Comment les cultures peuvent se mouler l’une dans l’autre, mais pas se fondre ? C’est le sens de ce débat », poursuivra encore Daniel Baillon. Reconnaître toutes les civilisations qui ont constitué l’île et parvenir à forger cette unité réunionnaise : c’est en ce sens que la Maison des Civilisations et de l’Unité Réunionnaise (MCUR) est un élément parmi d’autres pour nous y aider. Et pour Carpanin Marimoutou, Directeur scientifique et culturel de la MCUR, « il y a à faire sur les représentations et les imaginaires (...). Il y a des non dits et surtout l’on continue à masquer les apports complexes des différentes civilisations et leur mise en commun. Il y a un vrai travail de restitution des apports (qui n’est pas réservé à tel ou tel groupe de descendants) qui contribuent à construire ces mémoires qui doivent être partagées ». Et le débat entamé hier est fondamental dans le sens où, pour que ces mémoires soient partagées, soient inscrites dans l’espace public, soient un bien commun, il faut qu’elles soient prises en compte par tous. La Réunion a un important travail à engager dans ce sens.
« Y’a du boulot ! »
« Expérimentation » pour Monseigneur Aubry, « laboratoire de complexité » pour Giselène Bessière de l’association Rasin Kaf : La Réunion n’est pas encore le modèle de paix et de tolérance perçu de l’extérieur. Et pour Gisèle Bessière, « il faut en parler », « aller au fond du problème ». Les groupes interreligieux, interculturels, la diversité ne peuvent tout englober, tout résumer. « On vit ensemble, mais on n’a pas réglé tous nos problèmes. Il faut les poser, interroger toutes ces questions sans peur... Connaître et apprendre : ce n’est peut-être pas là le danger ». Et c’est en ce sens que le débat d’hier est à nourrir, mûrir, poursuivre, en permettant à chaque Réunionnais d’y participer. Comme l’a souligné un étudiant qui, pour casser le mythe du modèle réunionnais, a rappelé que le racisme existait ici, mais était tabou : « Y’a du boulot ! ».
Stéphanie Longeras
17 Chaires UNESCO en France
L’acte constitutif de l’UNESCO a été signé à Londres le 16 novembre 1945 par 37 pays et est entré en vigueur le 4 novembre 1946. Lors de la première conférence générale, a été proclamé le but de l’organisation :
« Contribuer au maintien de la paix et de la sécurité en resserrant, par l’éducation, la science et la culture, la collaboration entre nations, afin d’assurer le respect universel de la justice, de la loi ; des droits de l’Homme et des libertés fondamentales pour tous ; sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ».
Les Chaires ont été créées à l’initiative du Directeur de l’UNESCO, Frédérico Mayor, pour des scientifiques, chercheurs spécialisés ou personnalités rattachées le plus souvent à une université et qui réalisent des missions dans des domaines d’intervention variés correspondant aux idéaux et valeurs diffusés par l’organisation. Il existe aujourd’hui 571 Chaires UNESCO dans le monde dont 17 sur le territoire français. Les travaux que conduisent les Chaires sont liés grossièrement à l’éducation, aux droits, à la paix, et dans un nouveau contexte de mise en œuvre, elles abordent les thèmes de l’éthique, du développement durable ou encore des potentialités du dialogue interculturel et interreligieux.
« Les pionniers de cet idéal de l’UNESCO »
« Mettre en commun le message de paix de toutes les cultures »
Associations culturelles, groupes religieux, institutions, étudiants, représentants politiques... « il y a ici des volontés extraordinaires », soutenait hier Sudel Fuma qui souhaite que la Chaire de l’UNESCO de l’Université de La Réunion, par ses travaux de recherches et l’ouverture de ses réflexions sur les « relations et apprentissages interculturels », soit le relais de ces volontés. Il a eu également un mot pour ceux qu’ils qualifient de « pionniers de cet idéal de l’UNESCO » qui ont permis, il y a 20 ans, l’organisation d’une marche pour la paix d’envergure à La Réunion réunissant plus de 4.000 personnes de Saint-Denis à Saint-André. Les 2 principaux instigateurs de cette marche aux côtés de Sudel Fuma étaient présents hier dans l’hémicycle : Paul Canaguy et Christian Anicet. Cette marche, partie du mouvement sportif, avait pour objectif bien sûr de défendre la paix à La Réunion et dans le monde mais aussi traduisait la volonté de l’époque de voir un jour l’installation d’une Chaire de l’UNESCO à La Réunion. « Cela a mis du temps », concède le commentateur sportif, « mais il y a un aboutissement positif », poursuit Paul Canaguy qui en veut pour preuve la manifestation d’hier et cette première Journée de réflexion nationale de l’UNESCO organisée à La Réunion. Cela permet de « faire ressortir à travers l’interculturalité l’entente qui règne à La Réunion, de mettre en commun le message de paix de toutes les cultures ».
SL
Marche interculturelle pour la paix
Le message des étudiants
Après le débat très riche qui s’est tenu dans l’hémicycle de la Région, les Présidents des Chaires de France, le Secrétaire générale de la Commission française, associations, institutions, représentants politiques, enseignants et administratifs de l’Université ont été invités à une marche interculturelle pour la paix, organisée par les étudiants de l’Université, avec la participation des élèves de la section “Promouvoir l’égalité des chances” du Lycée Jean Hinglo du Port et de la section orientale du Collège Juliette Dodu de Saint-Denis.
Ils dessinent les contours de l’île
Plus de 3.000 ballons ont été gonflés par les étudiants qui se sont portés massivement volontaires pour donner leur souffle pour la paix. Plusieurs étudiants de toutes les cultures présentes à La Réunion se sont répartis tout au long du parcours (de l’entrée Est de l’Université à la cafétéria) afin de retracer le peuplement de La Réunion. Vêtus de tee-shirt blancs marqués « étudiants pour la paix », un représentant de chaque culture (française, malgache, africaine, indienne, chinoise, comorienne, mahoraise, mauricienne...) a arboré un costume traditionnel et transmis son message ou sa fresque aux membres de la délégation. En bout de marche, les étudiants se sont agencés de manière à dessiner les contours de l’île. Après la lecture du “Manifeste Réunionnais pour le partage des cultures”, un lâché de ballons symbolique a inondé le ciel, rapidement emportés par les alizés. La manifestation s’est terminée en chanson avec les groupes Fatac, La mauvaise école, Kayambé et le club rock de l’Université, et suivi d’un repas au restaurant universitaire.
Témoignage
Nicolas Fong-Kiwok, Vice-président de la Vie Etudiante de l’Université
« Je me sens avant tout Réunionnais »
Une heure avant la manifestation et après 1 mois intense de préparation, Nicolas Fong-Kiwok avait du mal à cacher son appréhension, animé, comme l’ensemble des étudiants investis dans l’opération, par la volonté de laisser transparaître la force du message interculturel réunionnais.
« On a voulu faire quelque chose de marquant pour dire que ce message de paix, de respect, de dialogue des cultures est porté par les étudiants, avec une dimension intergénérationnelle. On souhaite un vrai moment de partage entre nos aînés, les étudiants de chaque culture et les plus jeunes : 3 générations réunies autour d’un même message de paix. Car au-delà des discussions, nous avons voulu apporter une vraie illustration, montrer que cette nouvelle génération associent les cultures pour leur donner un sens commun. Il ne s’agit pas d’une juxtaposition de visages, de communautés, mais nous proposons une seule photo, une seule image, un seul visage réunionnais façonné par ses différentes cultures. Pour ma part, je suis Chinois et ça se lit sur mon visage, mais je me sens avant tout Réunionnais. Il faut savoir d’où l’on vient, le transmettre pour construire la véritable identité de demain, avec cette jeunesse. Je suis convaincu que nous, jeunes Réunionnais, nous irons plus loin à tous les niveaux : culturel, économique... Nous avons tout intérêt à aller dans le même sens pour La Réunion de demain et l’on est déjà tous ensemble. La jeunesse de La Réunion est dynamique, c’est ce qui fait sa force. Elle veut aller de l’avant, mettre en œuvre tous les moyens pour s’épanouir et travailler ensemble ».
SL
L’UNESCO qu’est-ce que c’est ?
L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) est née le 16 novembre 1945. Pour cette agence spécialisée des Nations Unies, le plus important n’est pas de construire des salles de classe dans des pays dévastés ou de restaurer des sites du Patrimoine mondial. L’objectif que s’est fixé l’Organisation est vaste et ambitieux : construire la paix dans l’esprit des hommes à travers l’éducation, la science, la culture et la communication.
La paix n’est pas simplement l’absence de conflits. La paix signifie : des budgets consacrés à construire et non pas à tuer et détruire, des infrastructures et des services qui fonctionnent et s’améliorent, des populations qui font des projets d’avenir, des esprits libérés des traumatismes de la violence et des idées de vengeance, et réceptifs aux idées de solidarité.
La paix est une démarche volontaire qui repose sur le respect de la différence et le dialogue. L’UNESCO veut être l’artisan de ce dialogue et promeut la collaboration entre les peuples, accompagnant les États sur le chemin du développement durable qui, au-delà du seul progrès matériel, doit répondre à toutes les aspirations humaines sans entamer le patrimoine des générations futures, et sur celui de l’établissement d’une culture de paix fondée sur les droits de l’homme et la démocratie. Ce mandat est sa raison d’être et son travail quotidien.
60 ans d’existence et quelques dates clés
2005 : Brunéi Darussalam devient le 191e Etat membre.
2003 : Les États-Unis reviennent à l’UNESCO.
2001 : La Déclaration universelle sur la Diversité culturelle de l’UNESCO est adoptée par la Conférence générale.
1998 : L’Assemblée générale des Nations Unies fait sienne la Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme, développée et adoptée par l’UNESCO en 1997
1997 : Le Royaume-Uni revient à l’UNESCO.
1992 : Création du programme Mémoire du Monde pour protéger les trésors irremplaçables des bibliothèques et les collections d’archives. Il comporte aujourd’hui également des archives sonores, cinématographiques et télévisuelles.
1990 : La Conférence mondiale sur l’Éducation pour tous, qui se tient à Jomtiem, Thaïlande, lance un mouvement mondial pour fournir une éducation de base à tous les enfants, jeunes et adultes. Dix ans plus tard, à Dakar (Sénégal), le Forum mondial sur l’Éducation engage les États à achever l’éducation de base pour tous en 2015.
1984 : Les États-Unis se retirent de l’Organisation en raison, entre autres, d’un désaccord sur la gestion. Le Royaume-Uni et Singapour se retirent en 1985. Le budget de l’Organisation chute considérablement.
1980 : Les deux premiers tomes de L’Histoire générale de l’Afrique de l’UNESCO sont publiés. Des séries d’ouvrages similaires portent sur d’autres régions, notamment l’Asie centrale et les Caraïbes.
1978 : L’UNESCO adopte la Déclaration sur la race et les préjugés raciaux. Des rapports publiés par la suite sur le sujet par le Directeur général ont servi à discréditer et à réfuter les bases pseudo-scientifiques du racisme.
1972 : La Convention concernant la Protection du Patrimoine culturel et naturel mondial est adoptée. Le Comité du patrimoine mondial est créé en 1976 et les premiers sites sont inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en 1978.
1968 : L’UNESCO organise la première conférence intergouvernementale visant à réconcilier l’environnement et le développement, ce qu’on appelle maintenant le « développement durable ». Cela conduit à la création du Programme « L’Homme et la Biosphère » (Man and the Biosphere, MAB) de l’UNESCO.
1960 : Lancement de la Campagne de Nubie en Égypte pour déplacer le Grand Temple d’Abou Simbel et éviter son inondation par le Nil lors de la construction du barrage d’Assouan. Pendant cette campagne, qui a duré 20 ans, 22 monuments et éléments architecturaux ont été déplacés. Ce fut la première et la plus importante d’une série de campagnes parmi lesquelles celles de Mohenjo Daro(Pakistan), de Fès (Maroc), de Kathmandou (Népal), de Borobudur (Indonésie) et de l’Acropole d’Athènes (Grèce).
1958 : Inauguration du siège permanent de l’UNESCO à Paris, conçu par Marcel Breuer (États-Unis), Pier-Luigi Nervi (Italie) et Bernard Zehrfuss (France).
1956 : La République d’Afrique du Sud se retire de l’UNESCO en se plaignant que certaines publications de l’Organisation « interfèrent » dans les « problèmes raciaux » du pays. L’État rejoint l’Organisation en 1994, sous la présidence de Nelson Mandela.
1952 : Une conférence intergouvernementale réunie par l’UNESCO adopte la Convention universelle sur le droit d’auteur. Dans les décennies qui ont suivi la seconde guerre mondiale, la Convention a servi à étendre la protection du droit d’auteur à de nombreux États qui n’étaient pas parties à la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques (1886).
1948 : L’UNESCO recommande aux États membres de rendre l’éducation primaire obligatoire et universelle.
16 novembre 1945 : les représentants de 37 pays se réunissent à Londres pour signer l’Acte constitutif de l’UNESCO qui entre en vigueur le 4 novembre 1946, après ratification par 20 pays signataires.
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