
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Dans “La liberté culturelle dans un monde diversifié” du PNUD
21 juillet 2004
Dans son dernier rapport annuel, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) aborde la question de la langue.
L’identité culturelle ne se résume pas à de simples chiffres. Les personnes dont la langue maternelle n’est pas la langue dominante ou officielle d’un pays - le basque en Espagne, le zoulou en Afrique du Sud, l’urdu au Royaume-Uni ou l’espagnol aux États-Unis -peuvent malgré tout prendre pleinement part à la culture et à la politique nationales.
"L’État peut rester aveugle aux religions, mais il ne peut rester sourd aux langues", explique la directrice du Rapport mondial sur le développement humain du PNUD, Sakiko Fukuda-Parr, en notant la grande variété de politiques de "langue officielle" dans les pays multilingues.
Les restrictions portant sur la capacité des gens à utiliser leur langue maternelle - et la difficulté à parler la langue nationale dominante ou officielle - peuvent exclure une part de la population de l’éducation, de la vie politique et de l’accès à la justice. L’Afrique sub-saharienne compte plus de 2.500 langues, mais la capacité de certains à user de leur langue pour l’éducation et pour leurs rapports avec l’état est particulièrement limitée. Dans plus de 30 pays de cette région, la langue officielle n’est pas celle employée communément. Seuls 13% des enfants scolarisés dans le primaire reçoivent leur éducation dans leur langue maternelle.
Les pays multilingues ont souvent besoin d’une formule tripartite :
- Une langue d’état nationale ou officielle ;
- Une lingua franca permettant de faciliter les échanges entre les différents groupes (dans certains cas, c’est la langue officielle qui sert à cela) ;
- La reconnaissance officielle de la langue maternelle ou des langues indigènes de ceux qui ne comprennent pas pleinement la langue officielle ou la lingua franca.
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