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Sakifo musik festival : An guy from New York city in Reunion Island
5 août 2004
’I feel wonderful’. Popa Chubby est bien arrivé à La Réunion. Il a déjeuné ce matin au même hôtel que le président de la République, Jacques Chirac. ’C’est quelque chose qui n’arriverait pas à New York’, commente le musicien américain, que le public aura la joie de retrouver au Sakifo Musik Festival ce week-end.
L’océan Indien est un monde inconnu pour ce musicien américain, inventeur d’un genre musical nouveau : le New York City Blues, un melting-pot semblable aux liaisons nombreuses que l’artiste aime à tisser avec les musiciens de tous horizons. "New York is a melting-pot", affirme-t-il en défendant le métissage des musiques, de toutes les musiques. Impatient de découvrir les rythmes de l’océan Indien et de La Réunion, Popa Chubby accepte d’avance toute proposition de bœuf.
"Le blues, c’est la musique du feeling, de l’émotion. À New York, plusieurs cultures se sont rencontrées de manière pas toujours évidente, vous pouvez y entendre toutes les musiques et leur son mélangé est semblable à celui d’un train", explique-t-il. Ainsi la définition du blues est celle d’un mélange interculturel, d’un big bang.
Un des meilleurs souvenirs de Popa Chubby est d’avoir joué avec un des musiciens de Bob Marley. Démonstration, selon lui, que la musique est un langage primaire et que l’émotion se partage par-delà les frontières.
Popa Chubby aime que "différents musiciens de différents endroits se retrouvent pour jouer". C’est dire s’il se réjouit de participer au Sakifo Musik Festival. Il découvre à peine La Réunion, et pourtant, si il y a de la place pour lui sur les scènes réunionnaises, il veut bien rester davantage.
Depuis son arrivée dans l’île, le bluesman new-yorkais est à l’affût des tags et des graffitis : "Ça me plaît. J’en ai vu plusieurs, c’est très parlant. J’y attache beaucoup d’importance car c’est une expression populaire très importante".
Du fait de sa carrière de musicien qui l’amène à tourner dans le monde entier, Popa Chubby se considère comme un ambassadeur de son pays. Question pour la forme et réponse évidente : "Non, je ne suis pas d’accord avec l’administration Bush".
Mais Popa Chubby en a marre aussi des médias, européens et américains, chacun avançant son point de vue sans que jamais la vérité n’éclate. "Si vous êtes un artiste, il faut faire passer un message. Assez de blablabla". Et quel message ? Le titre de son dernier “Peace, Love and Respect” (Dixiefrog) nomme justement les valeurs de sa musique : "Tout le monde demande la même chose une vie heureuse, dans la paix et le respect". Dans son album, Popa Chubby livre "une vision du monde à trois facettes : l’amour, la connaissance de soi-même, l’ambiguïté du gouvernement américain face à un monde de tension et de violence".
Popa Chubby sur scène, c’est au Sakifo Music Festival, demain à 19 heures, sous le Chapito.
Eiffel
Rythm and jazz en fanfare et percussions venues du Bénin
Gangbé Brass Band
Le Gangbé Brass Band a été créé en 1994 par un groupe de huit jeunes musiciens qui jouaient auparavant dans différentes formations. Gangbé, qui veut dire "son du métal" dans la langue du peuple Fon (du Sud du Bénin), a un style inimitable. Dans une démarche résolument contemporaine, ils opèrent une fusion étonnante entre le jazz et la musique traditionnelle béninoise : rythmes vaudous, chants en langue vernaculaires et mélodie jazz. Ils puisent leur inspiration dans le patrimoine musical de l’ancien Dahomey (nom de la capitale du Bénin jusqu’en 1975) et de l’Afrique noire en général.
Leur formation se caractérise par un mélange de percussions traditionnelles africaines et d’instruments à vent : trompettes, trombones, saxophones, euphorium... La démarche du Gangbé Brass Band est de promouvoir l’originalité de la musique béninoise. Cette musique est à la fois moderne et traditionnelle, c’est le résultat d’une rencontre originale entre le jazz et la musique traditionnelle béninoise.
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