
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
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19 mai 2010
William Wilberforce, écrivain, réformateur social et parlementaire, devient en 1787 le leader parlementaire du mouvement abolitionniste anglais. Il va contribuer à faire du mouvement abolitionniste une force organisée à la fin du 18ème siècle.
En 1889, Wilberforce présente sa proposition de loi abolitionniste devant la Chambre pour la première fois. Dans un discours émouvant, il récite durant trois heures les faits horribles de l’esclavage et termine avec les mots suivants : « après m’avoir écouté, vous ne déciderez peut-être pas de tourner la tête, mais vous ne pourrez plus jamais dire que vous ne saviez pas ». Malgré le succès de ce discours, il faudra attendre 1807 pour voir l’acte d’abolition de la traite accepté, rendant la traite illégale sur les bateaux britanniques.
Néanmoins, si la traite était abolie, l’esclavage demeure, et Wilberforce se mobilise pour l’émancipation des esclaves dans les colonies britanniques.
En 1823, il publie un pamphlet intitulé “Appeal on Behalf of the Negro Slaves” (Appel en faveur des esclaves “noirs”).
Fin 1825, il achète à Nantes des fers d’esclaves afin de prouver que la traite est toujours pratiquée à partir de ce port. Il les présente devant l’assemblée générale de la Société de la Morale chrétienne.
Sa proposition de loi d’émancipation est approuvée le 26 juillet 1833 par le parlement britannique.
L’esclavage est alors aboli dans tout l’Empire britannique, mais les planteurs reçoivent une haute compensation que Wilberforce commente aussi : « Grâce à Dieu, j’ai pu vivre cette date historique où l’Angleterre accepte de donner vingt millions de livres sterling pour l’abolition de l’esclavage ».
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