Hommages à Ayoub Khan

17 octobre 2009

Plusieurs personnes ont adressé hier des messages de condoléances suite au décès du directeur d’antenne de KOI. En voici quelques uns.

nous garderons dans nos pensées le chaleureux contact
La section PCR du Tampon s’associe à la douleur de la famille et des proches de Ayoub Khan et aussi à celle de ses collaborateurs et collègues de travail. Nous l’avions rencontré lors d’une conférence à Saint-Louis et il avait interviewé beaucoup de camarades du Tampon et nous garderons dans nos pensées le chaleureux contact qu’il avait su établir avec nous.
La Section PCR du Tampon 

A Ayoub Khan
J’ai été interviewé par Ayoub sur les ondes de Radio Korail. Puis, il a fait son petit bonhomme de chemin. Et régulièrement, j’écoutais sa voix lorsqu’il faisait des interviews sur Kanal Océan Indien (K.O.I.).
Il est parti dans la force de l’âge. Je mesure la douleur de sa famille et de ses amis devant la disparition brutale d’Ayoub. Certes personne n’est irremplaçable, dit-on, mais K.O.I perd un directeur de l’information et des programmes qui avait pleinement sa place. Comment ne pas souhaiter beaucoup de courage à toute l’équipe qui l’accompagnait.
Puisse-t-il devenir l’exemple même pour chacun d’entre nous, par sa détermination dans son travail et sa fidélité dans son amitié.
Je présente ici toutes mes condoléances à sa famille et à ses amis.
Marc Kichenapanaïdou 

Ayoub, mon ami !
Je ne te connais que depuis huit mois et déjà une grande amitié nous liait. Bien des éclats de rire ont accompagné nos journées. Bien des discussions aussi. Tu étais plein de talents : intelligent — le premier qualificatif que je retiendrais —, tu avais la réplique facile, sensée et légère, tu étais plein de gentillesse, toujours à l’écoute des gens même lorsque tu étais débordé de travail, rayonnant de joie et d’envie de vivre... il me faudrait le dictionnaire pour compléter cette liste. Tu étais plein de projets aussi.
En ce jour du 12 octobre, tout s’est arrêté. La vie t’a laissé... Tu nous as laissés. En ces quelques mots, Ayoub mon AMI, je voudrais te dire que la place que tu as occupée dans mon cœur à jamais t’est réservée. Personne ne viendra te le prendre.
Nos sincères condoléances à sa famille et à ses amis.
ADIEU MON AMI, A DIEU.
Josiane T. Kichenapanaïdou

Eternel adolescent
Je n’ai appris que mercredi ta disparition. Aujourd’hui vendredi, je ne trouve toujours pas les mots pour te dire ce que je ressens ou ce que je refuse de ressentir, peut-être parce que tu ne peux pas mourir... Je veux juste envoyer un message à ta mère et à cette personne qui partageait ta vie depuis une quinzaine d’années à Paris : il vous faudra trouver une autre source de vie, parce qu’Ayoub veut vous voir vivre et être heureux. C’est ce qu’il a toujours voulu pour tous ceux qu’il aimait et aussi les autres. C’est aussi le sens de son combat.
Jismy Ramoudou 

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Messages

  • Ayub,

    Tu faisais tellement partie de ma vie que j’ai encore du mal à croire que tu es parti. C’est comme si on m’avait arraché un membre.
    Mais tu sais, j’entends encore battre ton coeur, même s’il s’est arrêté pour toujours.


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