Hommages à Ayoub Khan

19 octobre 2009

Une semaine après la disparition d’Ayoub Khan, directeur d’antenne de KOI, de nouveaux messages de condoléances continuent à nous parvenir.

« Salut mon frère » 

Ayoub, on se croisait dans les locaux de “Témoignages” KOI. Souvent tu me disais de faire ensemble une émission radio hebdomadaire, je t’ai dit bien sûr, oui. Mais l’actualité sociale nous a permis de réaliser cette émission. Tu nous quittes trop tôt. Tu as marqué le paysage radiophonique et tu nous as laissé dans nos cœurs ton éternel sourire. Sincères condoléances à toute la famille.
Salut mon frère.

Maurice Gironcel 


« Le souvenir d’un jeune homme aux larges sourires » 

C’est avec beaucoup d’émotions que j’ai appris le décès de Ayoub Khan. J’ai fait sa connaissance le vendredi 29 mai 2009 exactement. J’accompagnais le poète-journaliste mauricien Sedley Assonne sur les ondes de KOI à l’occasion de la sortie de ses livres "Les femmes du séga" et "Kaya, autopsie d’une légende". Ayoub nous a accueillis comme s’il nous connaissait depuis toujours. Il était très sympathique et le courant est très, très vite passé entre Ayoub et Sedley, Ayoub et moi. Nous nous sommes téléphonés souventes fois pour mettre en place des émissions sur les auteurs réunionnais et surtout sur les gens défavorisés, les exclus de notre société réunionnaise.
Le mois d’octobre étant très chargé sur le plan culturel, nous avons reporté notre rencontre en novembre pour mettre en place ces entretiens. Je garde le souvenir d’un jeune homme aux larges sourires, courtois, sympathique. J’espère que là où il est, il pourra faire des interviews d’Alain Peters, d’Alain Lorraine, de Riel Debars et beaucoup d’autres de nos fonnkézèr, maloyèr, ségatiers, etc… qui nous ont laissés bien trop tôt ! A un de ces quatre, Ayoub ! Bien sûr, mes sincères condoléances à tous ses proches.

Annie Darencourt

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Messages

  • Trop tot, pourquoi es tu parti si tot ? Ton sourire, ta joie de vivre et ta gentillesse, resteront à jamais dans nos coeurs.
    Avec Cyril, ton ami d’enfance, et Hervé, ton Ami de longtemps ; nous pensons bien à toi.
    Tu nous laisse un vide qui ne se comblera jamais.
    Nous t’aimions et nous t’amerons toujours.
    François et Maguelonne


Témoignages - 80e année

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