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HOMMAGE À FRANCIS SAUTRON
Un article de Eugène Rousse
15 novembre 2003
Nous publions aujourd’hui le seconde partie de l’article que notre ami Eugène Rousse consacre à la vie et l’œuvre de Francis Sautron, décédé le 22 octobre dernier à l’âge de 78 ans. Eugène Rousse a choisi de consacrer cet article essentiellement à l’œuvre militante accomplie par notre compatriote en terre malgache, où il vécut de 1944 à 1965.
Nous avons vu hier comment Francis Sautron, sitôt son service militaire accompli dans la Grande Île, s’est mis aux côtés du peuple malgache en lutte contre l’oppression coloniale. D’abord engagé dans l’action syndicale, il devient un des dirigeants de la FISEMA (Fédération des syndicats des travailleurs de Madagascar) puis un leader de l’Union du peuple malgache (UPM), une formation politique qu’il a portée sur les fonts baptismaux en septembre 1956. Sous ce drapeau, il est élu maire de Diégo-Suarez en janvier-février 1957, malgré la répression et les attaques dont il fut l’objet de la part de l’Administration coloniale française à Madagascar et de la part de la hiérarchie de l’Église catholique.
Moins d’un mois après son élection à la mairie de Diégo-Suarez, Francis Sautron doit jeter toutes ses forces dans la bataille des élections provinciales. Dans la province de Diégo, qui s’étend sur la partie septentrionale de Madagascar, la campagne est particulièrement dure. La liste conduite par Francis Sautron doit faire face à un flot de calomnies : des tracts diffusés massivement accusent les dirigeants de l’UPM de recevoir des fonds de l’étranger, de Moscou en particulier.
Le clergé menace d’excommunication ceux qui sympathisent avec les "communistes" de l’UPM. Dans les agglomérations relativement isolées, les listes électorales sont truquées.
Mais la popularité de Francis Sautron et de ses colistiers est telle qu’aux élections provinciales du 31 mars 1957 ils enlèvent 28 des 40 sièges dont dispose leur province. Majoritaire à l’Assemblée provinciale ainsi qu’au Conseil provincial de Diégo-Suarez, Francis Sautron et ses amis obtiennent six sièges à l’Assemblée représentative formée de 54 membres (à raison de 9 par province).
Cette Assemblée siège à Tananarive et son rôle le plus important est de désigner le 27 mai 1957 le Conseil de gouvernement, soit l’exécutif malgache, dont les membres ont le titre de ministres. Chaque province devant être représentée à cette instance suprême, le poste de ministre de l’Équipement - qui avait été proposé à Francis Sautron - échoit à son co-listier Justin Bezara.
Il convient de relativiser les compétences de ces nouvelles institutions mises en place par le gouvernement socialiste de Guy Mollet, sur proposition du ministre Gaston Defferre. Comment ne pas se poser la question de savoir pourquoi la présidence tant des Conseils provinciaux que du Conseil du gouvernement central est exercée non par des élus (confinés dans des seconds rôles), mais par un fonctionnaire de l’Administration coloniale désigné par le gouvernement français ?
Soutenir - comme le fait Gaston Defferre dans un discours prononcé à Tananarive le 28 avril 1957 - que la loi cadre confère aux nouvelles assemblées des pouvoirs accrus, c’est oublier que ces assemblées n’ont pas le pouvoir de légiférer, et qu’elles doivent pour l’essentiel se contenter d’émettre des vœux.
C’est pour ces raisons qu’au cours de leur mandat - au demeurant assez bref -, Francis Sautron et ses amis n’ont eu de cesse de réclamer l’abrogation pure et simple de la loi d’annexion de Madagascar par la France, dite loi du 6 août 1896. Ils réclamaient également la totale indépendance de Madagascar, l’amnistie pour toutes les victimes de la répression consécutive à l’insurrection de 1947, le retour sans délai dans leur île de tous les patriotes malgaches condamnés à l’exil.
Ces revendications ne sont pas satisfaites lorsque se produisent en mai 1958 les graves événements qui entraînent la chute de la 4ème République et le retour au pouvoir du Général de Gaulle.
Ce dernier se déclare prêt à accueillir au sein d’une grande Communauté tous les territoires d’outre-mer dont les populations répondront "oui" au référendum du 28 septembre 1958.
Ne voulant pas tomber dans le piège d’une nouvelle "loi-cadre Defferre" à peine modifiée, un certain nombre d’organisations malgaches - dont l’UPM et la FISEMA - appellent à voter "non". Leur appel est relayé par les ministres représentant les provinces de Diégo-Suarez, de Tananarive et de Tamatave. Philibert Tsiranana, leader du Parti social-démocrate (PSD) fondé en décembre 1956, se prononce pour sa part, comme diverses formations de droite, pour un vote positif.
Le scrutin, précédé de la venue à Tananarive du Général de Gaulle, est marqué par de graves irrégularités, qui font dire à Sautron qu’il s’agit d’un scrutin truqué. Il donne les résultats suivants : "oui" 77% des suffrages ; "non" 22%. Le "non" ne l’emporte que dans la province de Tananarive et dans la ville de Diégo-Suarez.
Au lendemain du référendum du 28 septembre 1958 voulu par le Général de Gaulle, le socialiste Philibert Tsiranana devient l’homme fort du pays.
Il obtient du Général la signature (le 6 octobre 1958) d’une ordonnance stipulant que le choix du futur statut de la Grande Île serait fait non par l’Assemblée représentative élue six mois plus tôt mais par un congrès composé de tous les conseillers provinciaux de Madagascar. Ce qui élargit la marge de manœuvre du dirigeant du PSD.
Le congrès se tient à Tananarive le 14 octobre 1958, où après un vote largement favorable à l’érection de Madagascar en "État autonome au sein de la Communauté", la République est proclamée ; 26 conseillers provinciaux de Tananarive et de Diégo-Suarez (dont Francis Sautron) se prononcent pour l’abstention.
Le 15 octobre, la décision est prise de transformer le Conseil du gouvernement mis en place le 27 mai 1957 en Gouvernement provisoire de la République malgache présidé par Philibert Tsiranana.
Le 16 octobre, c’est au tour de l’Assemblée nationale provisoire législative et constituante d’être désignée par le congrès de Tananarive, non au scrutin proportionnel mais au scrutin de liste majoritaire. Ce qui entraîne l’exclusion des partisans du "non" de la dite Assemblée.
Pour protester plus efficacement contre une telle décision qu’elles estiment arbitraire, trois organisations - dont l’UPM de Francis Sautron - décident de se regrouper au sein d’une seule formation politique, qui voit le jour le 8 novembre 1958. Cette formation - qui se dénomme "Parti du congrès de l’Indépendance" ou "Antokon’ny kongresin’ny fahaleovantenan’I Madagasikara" (AKFM) - se donne comme président le pasteur Richard Andriamanjato. Celui-ci jouera un rôle remarquable sur la scène politique malgache. À Diégo, la section de l’AKFM est dirigée par Francis Sautron.
Soucieux de museler l’opposition, Philibert Tsiranana ne tarde pas à obtenir la révocation du maire de Tananarive et la dissolution le 27 janvier 1959 du Conseil municipal de Diégo dirigé par Francis Sautron. Dix mois plus tard le 11 octobre 1959, une nouvelle élection municipale permet à notre compatriote de récupérer son siège de maire. Sa liste étiquetée AKFM-FISEMA obtient 19 sièges, contre 8 sièges à la droite.
Ce même jour, l’AKFM de Richard Andriamanjato triomphait à Tananarive en enlevant 25 des 37 sièges du Conseil municipal de la capitale malgache.
Toujours mauvaise perdante, la droite, comme en 1956, presse 12 conseillers municipaux de Diégo de démissionner. Au scrutin du 6 mars 1960, consécutif à ces démissions, la coalition gouvernementale obtient 8 des 12 sièges vacants. Le nouveau rapport des forces au sein du Conseil est alors le suivant : AKFM 17 sièges ; droite 10 sièges. Une nouvelle fois, Francis Sautron retrouve son fauteuil de maire. Il le conservera jusqu’en décembre 1964, malgré toutes les chausse-trappes que des adversaires peu scrupuleux dresseront sur sa route.
Ces élections municipales du 11 octobre 1959 avaient été précédées de :
- l’élection du président de la République le 1er mai 1959. Sans surprise, Tsiranana recueillit la totalité des voix des 113 votants ;
- la désignation fin avril 1959 des 37 membres du Sénat ;
- la transformation des assemblées provinciales en Conseils généraux de province ;
- la formation le 14 mai 1959 d’un nouveau gouvernement composé uniquement d’amis de Tsiranana. Ce dernier avait expressément demandé l’élimination de Justin Bezara, un proche de Francis Sautron qui détenait jusque-là le portefeuille de l’Équipement.
Après les élections municipales du 11 octobre 1959, qui se traduisent par un échec pour les partis qui soutiennent le gouvernement, ce dernier s’emploie à tout mettre en œuvre pour qu’il n’ait jamais plus à subir une pareille humiliation.
Le gouvernement n’hésite pas à recourir à l’arbitraire pour empêcher le fonctionnement normal des communes qui ne sont pas de fidèles exécutantes de sa politique.
Sont particulièrement visées par le pouvoir central les communes de Diégo-Suarez et de Tamatave.
Il a été fait état ci-dessus de l’entreprise de déstabilisation de la municipalité de Diégo qui, grâce à la vigilance et au large soutien populaire dont bénéficie Francis Sautron, a pu surmonter tous les obstacles.
En ce qui concerne Tananarive, une ordonnance du 3 octobre 1960 prive le pasteur Richard Andriamanjato, le maire de la capitale, de presque toutes ses prérogatives. C’est un délégué général, sorte de super préfet nommé par le gouvernement, qui administre la ville. C’est lui qui convoque le Conseil municipal et contrôle le travail des adjoints de la capitale malgache.
Les maires des autres communes ne sont pas eux non plus à l’abri de l’arbitraire, car l’ordonnance du 24 août 1960 prévoit que dès l’instant où l’administration d’une commune lui paraît "mauvaise", le gouvernement peut substituer au maire de la dite commune, un maire désigné par lui.
Bref, à tout moment, une commune peut être placée sous tutelle du gouvernement sans que ce dernier n’ait véritablement à se justifier.
La presse de son côté - essentiellement la presse d’opposition - est placée sous haute surveillance. La loi du 27 février 1959 institue le « délit d’outrage aux institutions nationales et communautaires ». En application de cette loi, des journaux se voient infliger de lourdes peines d’amende. Des journalistes sont même condamnés à des peines de prison.
Comme à La Réunion à la même époque, la saisie des journaux est ordonnée pour des motifs plus que légers. Ainsi le 19 mai 1959, une des publications de l’AKFM est saisie pour la simple raison que Philibert Tsiranana y est traité de « Sa Majesté le Président-roi ». De plus, la loi du 20 décembre 1960 permet d’interdire la parution d’un journal pour une durée de 15 jours sous des prétextes les plus divers.
Les libertés les plus élémentaires du citoyen sont bafouées. L’ordonnance du 22 juillet 1960, par exemple, prévoit « l’assignation à résidence des individus jugés subversifs ». Cette ordonnance n’est pas sans rappeler l’ordonnance du 15 octobre 1960 signée de Michel Debré et visant tout fonctionnaire « dont le comportement est de nature à troubler l’ordre public ». Ordonnance dont ont eu à souffrir de nombreux Réunionnais.
C’est probablement en application de cette ordonnance du 22 juillet 1960 que deux dirigeants de la FISEMA sont expulsés de Madagascar en 1962. Expulsions qui seront suivies de nombreuses autres en 1963.
Cette ordonnance n’est sans doute pas étrangère à la fermeture en 1963 du siège de la FISEMA pour une durée de trois mois. Fermeture qui s’accompagna pour cette organisation chère à Francis Sautron d’une interdiction de toute activité.
Une des plus précieuses conquêtes de la classe ouvrière est remise en cause par le gouvernement. Il s’agit du droit de grève dont sont désormais privés tous les travailleurs de la fonction publique.
À compter de l’installation de Philibert Tsiranana à la présidence de la République, la répression ne cesse de s’accentuer au fil des années. Cette répression vise avant tout tous ceux qui sont soupçonnés de sympathiser avec les communistes.
L’Église catholique, de son côté, n’a pas attendu l’accession au pouvoir de Tsiranana pour descendre dans l’arène politique et se mobiliser pour influencer le vote des Malgaches.
Dès 1949, les autorités religieuses demandent à tous les curés de la Grande Île de refuser les sacrements à tous ceux qui votent pour des candidats communistes. Même des enfants sont souvent victimes d’une telle prise de position. Ainsi, un des enfants de Francis Sautron n’a pu être baptisé à Diégo. Des vieillards n’ont pu obtenir l’assistance d’un prêtre lors de leur décès.
Ces mêmes autorités se prononcent pour une Église conservatrice militante. Le 3 janvier 1957, Monseigneur Rolland, évêque d’Antsirabé, demande à tous les catholiques d’être « des citoyens porte-lumière ».
Mgr Rolland avait été un an plus tôt, à Noël 1956, d’une clarté absolue dans sa lettre pastorale lue dans des églises généralement combles : « Refusez vos suffrages à tout communiste... Aucune alliance n’est possible avec de tels hommes ou qui ne croient pas en Dieu ou qui s’acharnent à combattre la religion... et qui veulent instaurer à Madagascar un régime de terreur et d’esclavage ».
C’est pour un vote favorable à la loi-cadre de Gaston Defferre que milite l’Église à Madagascar. On est donc fondé à affirmer que l’Église et le Pouvoir célèbrent avec la même joie "l’indépendance" de Madagascar qui est proclamée le 26 juin 1960.
Tel est le contexte dans lequel se déroulent pour la première fois à Madagascar des élections législatives. Élections qui ont lieu le 4 septembre 1960 au suffrage universel et au scrutin de liste majoritaire à un tour. Sur les 107 sièges à pourvoir, le PSD et ses alliés obtiennent 104 sièges ; l’AKFM n’obtient que 3 sièges.
L’analyse du scrutin montre que même dans les villes comme Tananarive et Diégo-Suarez, où les listes AKFM conduites par le pasteur Richard Andriamanjato et Francis Sautron l’avaient nettement emporté le 11 octobre 1959 sur les listes pro-gouvernementales, l’AKFM n’a au total que 3 élus : 0 siège sur 8 à Diégo ; 3 sièges sur 25 dans la province de Tananarive.
Ce curieux « renversement de tendance » - auquel les Réunionnais étaient habitués à la même époque - laisse planer un sérieux doute quant à la régularité des opérations électorales. Victime de la fraude, Francis Sautron ne peut donc siéger à l’Assemblée nationale de Madagascar.
Pour marquer sa volonté de ne pas cautionner les « vols de suffrages électoraux » commis impunément le 4 septembre 1960, l’AKFM décide de ne pas présenter de candidats aux élections des Conseils généraux du 11 septembre 1960 dans les provinces de Diégo-Suarez, Tuléar, Majunga et Fianarantsoa, ainsi qu’aux sénatoriales du 2 octobre 1960. Sans la moindre retenue, les partis gouvernementaux s’attribuent alors 231 des 236 sièges des Conseils généraux et la totalité des sièges de sénateurs.
Après les mascarades électorales de 1960 dénoncées avec force par l’AKFM ainsi que par les démocrates réunionnais, Francis Sautron s’attend à une fin de mandat difficile, malgré le soutien populaire dont il jouit à Diégo. Les craintes de notre compatriote s’avèrent fondées.
Le gouvernement ne tarde pas en effet à prendre deux importantes décisions. La première vise à écourter le mandat des conseillers municipaux élus le 11 octobre 1959. Mandat qui s’achève normalement fin 1965. Le renouvellement de tous les Conseils municipaux est fixé au 14 décembre 1964.
La seconde décision vise à éliminer de la direction des communes toute personne n’ayant pas la nationalité malgache. Ce qui est le cas de Francis Sautron. Il est l’une des rares personnes concernées par la loi du 15 juillet 1963, qui stipule que « les fonctions de maire et de 1er adjoint ne peuvent être exercées par des citoyens français ».
Aux municipales du 14 décembre 1964 auxquelles Francis Sautron ne se présente pas, les partis gouvernementaux s’emparent de la mairie de Diégo. Lors de ce scrutin municipal, le PSD de Tsiranana met tout en œuvre pour éliminer ses adversaires partout où, malgré le recours à la fraude, ces derniers ont pu se faire élire.
Ainsi à Antsirabé, grande ville des Hauts-Plateaux, où l’AKFM parvient à infliger une défaite au PSD, les élections sont invalidées et, au scrutin suivant, les résultats sont inversés : le président de la délégation spéciale mise en place à la suite de l’invalidation des élections du 14 décembre 1964 - qui n’éprouve aucune gêne à être candidat tête de liste - s’octroie 27 sièges et ne concède à l’AKFM que 7 sièges.
Dans l’atmosphère très lourde qui suit les municipales du 14 décembre 1964, Francis Sautron se livre à un minutieux examen de sa situation et surtout de celle de ses enfants qui sont tous d’âge scolaire. Les conditions dans lesquelles l’enseignement est dispensé l’inquiètent particulièrement : ce sont des militants du PSD, n’ayant souvent aucune qualification qui occupent les postes d’enseignants. Malgré son attachement à la ville de Diégo, il prend la décision de regagner son île natale.
Arrivé à La Réunion où sa présence n’est pas appréciée par la haute Administration. En effet, celle-ci se livre depuis 1956 à une véritable chasse aux communistes et à leurs sympathisants.
Francis Sautron et son épouse obtiennent cependant par voie de concours un poste à la Caisse générale de sécurité sociale. Ils s’installent donc à Saint-Denis, où débute pour eux une vie nouvelle. Une vie au cours de laquelle Francis Sautron s’implique fortement dans l’action syndicale et politique du pays.
Cela le conduit à assumer d’importantes responsabilités déjà évoquées dans "Témoignages" au lendemain de son décès survenu le 22 octobre dernier.
L’énorme travail qu’il a accompli doit évidemment être poursuivi. C’est la seule façon pour ceux qui l’ont connu de rester fidèles à sa mémoire.
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