
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Nouvelle aggravation de la situation
9 août 2010
Les plus importantes inondations connues de mémoire d’homme au Pakistan ont franchi une nouvelle étape dans leur intensité. Elles concernent désormais le Sud du pays, et 15 millions de personnes sont touchées par des sinistres liées à ces pluies exceptionnelles.
Les autorités pakistanaises continuaient samedi d’évacuer les familles confrontées aux gigantesques inondations qui ont fait près de 15 millions de sinistrés.
Dans le sud du pays, notamment dans la province du Sind traversée par le fleuve Indus, la catastrophe affecte trois millions de personnes, dont un million qui ont dû être évacuées, ont indiqué les autorités provinciales.
Vendredi, le Pakistan a décrété l’alerte rouge face à l’aggravation des inondations qui ont gagné le Sud. L’Inde voisine était atteinte à son tour.
Dans un message à la nation diffusé à la télévision, le premier ministre pakistanais Yousuf Raza Gilani a lancé un appel à la communauté internationale pour une aide immédiate à son pays. « Je voudrais demander à la communauté internationale d’apporter son soutien et son aide au Pakistan pour alléger les souffrances des personnes touchées par les inondations », a-t-il déclaré.
Des milliers de morts
« Les pertes en vies humaines et en infrastructures sont immenses et l’évaluation des dégâts ne pourra être établie qu’une fois que l’eau se sera retirée », a ajouté le premier ministre pakistanais.
Selon l’Autorité pakistanaise de gestion des sinistres, 12 millions de personnes ont été touchées par les inondations dans les seules provinces du Pendjab, dans le centre du pays, et de Khyber Pakhtunkhwa, dans le nord-ouest. Le bilan des sinistrés dans la province méridionale du Sind est encore inconnu.
L’ONU a estimé pour sa part que plus de 4,5 millions de Pakistanais ont été affectés par les flots qui ont dévasté des villages entiers et fait au moins 1.600 morts en une semaine. La province de Khyber Pakhtunkhwa dénombre à elle seule 1.400 morts, a indiqué le responsable des opérations de secours dans cette région, le général Ghayoor Mehmood.
Les pluies diluviennes de la mousson ont détruit les maisons, les routes et les ponts, isolant des villages entiers. Au Pendjab, des milliers de personnes fuyaient leur domicile, parfois à pieds nus, leurs biens entassés sur des ânes ou des véhicules.
En outre, les autorités du Pendjab craignent des ruptures de barrages près de la ville de Kot Addu, une zone déjà transformée en lac géant par les pluies. Par mesure de précaution, elles ont suspendu les opérations dans plusieurs centrales électriques, menaçant une partie de l’approvisionnement énergétique du pays.
Un défi pour l’aide humanitaire
Malgré une réponse rapide de l’aide humanitaire, la Croix-Rouge craint que le pire soit encore à venir. « Tous les efforts sont entrepris pour prévenir les maladies infectieuses, mais avec l’ampleur du désastre, les risques d’une épidémie sont élevés », a déclaré le directeur des opérations d’urgence de la Croix-Rouge canadienne, Hossam Elsharkawi.
M. Elsharkawi a précisé que la diarrhée et le choléra posaient « des risques accrus à des communautés déjà vulnérables », tout en soulignant que tous les efforts seraient entrepris pour garantir l’eau potable aux sinistrés.
Les États-Unis ont promis de fournir 35 millions de dollars d’aide aux victimes des inondations. Six de leurs hélicoptères militaires ont participé jeudi à des missions d’assistance dans le nord du Pakistan.
Des organisations caritatives islamiques, dont certaines soupçonnées d’être liées à des groupes armés islamistes, se sont également mises à pied d’oeuvre dans les zones sinistrées.
L’Inde touchée à son tour
En Inde, au moins 132 personnes ont été tuées et des centaines d’autres, blessées, dans des inondations à Leh, dans le Nord du pays, selon un nouveau bilan donné samedi par un haut responsable de la police locale.
Les fortes précipitations ont endommagé des maisons et des bâtiments gouvernementaux. L’aéroport a aussi été touché et les vols ont été interrompus.
Le bilan pourrait s’alourdir, car plusieurs zones sont inaccessibles. Des militaires ont été déployés pour venir en aide aux secouristes.
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