
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Vulnérabilité face aux événements climatiques extrêmes
7 novembre 2024
L’Afrique de l’Ouest et du Centre continue de subir des inondations catastrophiques, avec plus de sept millions de personnes touchées dans 16 pays, selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA). Le Tchad, le Niger, le Nigéria et la République démocratique du Congo (RDC) sont les plus touchés. Les inondations aggravent les problèmes existants résultant des conflits et des catastrophes naturelles précédentes.
Photo : Croix-Rouge du Tchad
Les inondations dévastatrices qui frappent l’Afrique de l’Ouest et du Centre affectent désormais plus de sept millions de personnes à travers 16 pays, d’après l’ONU (OCHA). Les pays les plus touchés sont le Tchad, le Niger, le Nigeria et la République démocratique du Congo (RDC). Ces inondations viennent aggraver une situation déjà fragile, marquée par les conflits et des catastrophes naturelles antérieures.
« Malgré les efforts de l’ONU et de ses partenaires pour apporter une aide sous forme de nourriture, d’eau potable, de soutien financier, d’abris et de soins médicaux, le manque de ressources limite grandement notre capacité de réponse », a déclaré Stéphane Dujarric, porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, lors d’un point de presse lundi à New York.
Joyce Msuya, la Coordonnatrice intérimaire des secours d’urgence, a récemment débloqué 38,5 millions de dollars du Fonds central d’intervention d’urgence (CERF) pour appuyer des pays tels que le Cameroun, le Tchad, la RDC, le Niger, le Nigeria et la République du Congo. Ce montant dépasse le financement total alloué par le CERF pour les inondations au cours des quatre dernières années.
« Nos équipes signalent une possible aggravation de la situation, en particulier en Afrique centrale, où la saison des pluies se poursuit jusqu’au mois prochain », a précisé le porte-parole.
La semaine dernière, le HCR a lancé un appel pour une aide urgente destinée à 228 000 personnes déplacées de force et aux communautés d’accueil affectées par ces inondations massives en Afrique de l’Ouest et du Centre. Le HCR met en garde contre les effets à long terme de ces inondations, qui risquent de prolonger les difficultés des populations vulnérables bien au-delà de la saison des pluies actuelle. Des financements sont cruciaux pour fournir des abris, des articles de secours, et renforcer les activités de préparation.
Abdouraouf Gnon-Kondé, Directeur régional du HCR pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, a affirmé que « le HCR et ses partenaires travaillent avec les gouvernements pour offrir une aide immédiate et un soutien à long terme aux populations déplacées et à leurs communautés d’accueil, qui restent parmi les plus durement touchées par cette crise. Sans financements additionnels, des besoins vitaux resteront insatisfaits, aggravant encore la vulnérabilité de ces populations."
Le changement climatique accentue les vulnérabilités existantes et entraîne de nouveaux déplacements dans des régions déjà marquées par des conflits et une insécurité croissante. En Afrique de l’Ouest et du Centre, 14 millions de personnes sont aujourd’hui déplacées, un chiffre deux fois plus élevé qu’en 2019. Cette combinaison de crises souligne l’urgence d’accroître la résilience climatique et l’aide humanitaire pour protéger les plus vulnérables.
Mézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
C’est une avancée majeure aujourd’hui pour les Dionysien·ne·s touchés de plein fouet par le cyclone Garance : l’État vient d’ajouter (…)
Macron et son gouvernement cherchent à économiser 43,8 milliards pour soi-disant enrayer l’endettement de l’État.
Mézami zot i koné piman ? Sa lé for mé manz ali la pa toute. Wa gingn in bon poikman d’boush mé sa i arète pa la. Pars aprésa néna ankor lé fré (…)
Le projet de parc éolien en mer au large de La Réunion a été évoqué à plusieurs reprises ces dernières années. Des études et étapes ont déjà été (…)
L’armée française a officiellement restitué le 17 juillet ses deux dernières installations militaires au Sénégal, mettant fin à sa présence (…)
Quelques jours avant la tenue du CIOM à Paris, à Saint-Benoît, une centaine d’acteurs politiques (PS-EELV-PCR-Banian-Ansanm-Place Publique), (…)
Le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO, réuni à Paris, a décidé de retirer trois biens situés à Madagascar, en Égypte et en Libye de la Liste (…)
La réunion du Comité interministériel des Outre-mer (CIOM) organisée le 10 juillet par le gouvernement à Paris, sans la présence des élus locaux, (…)
Le Comité de suivi des retraites a indiqué dans son avis que "le niveau de vie des retraités est élevé en comparaison européenne et [que] (…)
Madanm Biganbé l’apo fé kui manzé ; misié Biganbé l’apo as manzé-koson. An-minm-tan, tou lé dé i diskit ansanm : « Marsel1 ! Zot i sa fer l’ (…)
Mézami souvan dé foi, pou sète istoir d’maryaz, lantouraz famiye i fé lanmanshman é si lo zanfan , karaktèr lé fèb,ala ké li lé anbarké dann in (…)