
Turbulence à la Mairie de Saint-André
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Rapport du Groupe de travail I au sixième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat -7-
24 août 2022
Les effets de réductions substantielles des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ne seraient pas apparents immédiatement, et le temps nécessaire pour détecter les effets dépendrait de l’échelle et du rythme des réductions d’émissions. Selon les scénarios de faibles émissions considérés dans ce rapport, l’augmentation des concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone ralentirait visiblement après environ cinq à dix ans, tandis que le ralentissement du réchauffement de la surface globale serait détectable après environ vingt à trente ans. Les effets sur les tendances régionales des précipitations ne deviendraient apparents qu’après plusieurs décennies.
La réduction des émissions de dioxyde de carbone (CO2) — le gaz à effet de serre le plus important émis par les activités humaines — ralentirait le taux d’augmentation de la concentration atmosphérique de CO2. Cependant, les concentrations ne commenceraient à diminuer que lorsque les émissions nettes approcheraient de zéro, c’est-à-dire lorsque la plupart ou la totalité du CO2 émis dans l’atmosphère chaque année est éliminée par des processus naturels et humains. Ce délai entre le pic des émissions et la diminution de la concentration est une manifestation de la très longue durée de vie du CO2 dans l’atmosphère ; une partie du CO2 émis par l’homme reste dans l’atmosphère pendant des siècles voire des millénaires.
La réduction du taux d’augmentation de la concentration de CO2 ralentirait le réchauffement global de la surface en une décennie. Mais cette réduction du taux de réchauffement serait initialement masquée par la variabilité naturelle du climat et pourrait ne pas être détectée avant quelques décennies. Il serait donc difficile de détecter si le réchauffement de surface a effectivement ralenti dans les années suivant le début des réductions d’émissions.
Le temps nécessaire pour détecter l’effet des réductions d’émissions est illustré en comparant les scénarios d’émissions faibles et élevées.
Dans le scénario à faibles émissions (SSP1-2.6), les émissions de CO2 se stabilisent après 2015 et commencent à baisser en 2020, alors qu’elles continuent d’augmenter tout au long du XXIe siècle dans le scénario à fortes émissions (SSP3-7.0). L’incertitude découlant de la variabilité interne naturelle du système climatique est représentée en simulant dix fois chaque scénario avec le même modèle climatique mais en partant d’états initiaux légèrement différents en 1850.
Pour chaque scénario, les différences entre les simulations individuelles sont entièrement causées par des facteurs naturels simulés. variabilité interne. La moyenne de toutes les simulations représente la réponse climatique attendue pour un scénario donné. L’histoire climatique qui se déroulerait réellement dans chaque scénario consisterait en cette réponse attendue combinée à la contribution de la variabilité interne naturelle et à la contribution des futures éruptions volcaniques potentielles.
En revanche, la différence des températures de surface globales entre les deux scénarios n’apparaît que plus tard — environ deux à trois décennies après que les historiques d’émissions ont commencé à diverger dans cet exemple. Ce temps serait plus long si les émissions étaient réduites plus lentement que dans le scénario à faibles émissions et plus court dans le cas de réductions plus fortes. La détection prendrait plus de temps pour les quantités régionales et pour les changements de précipitations, qui varient plus fortement des causes naturelles. Par exemple, même dans le scénario à faibles émissions, l’effet de la réduction des émissions de CO2 ne deviendrait pas visible dans les précipitations régionales avant la fin du XXIe siècle.
En résumé, ce n’est qu’après quelques décennies de réduction des émissions de CO2 que l’on verrait clairement les températures mondiales commencer à se stabiliser. En revanche, les réductions à court terme des émissions de CO2, comme lors de la pandémie de COVID-19, n’ont pas d’effets détectables sur la concentration de CO2 ou la température mondiale. Seules des réductions d’émissions soutenues sur des décennies auraient un effet généralisé sur l’ensemble du système climatique.
Source : GIEC
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