
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le changement climatique à l’ordre du jour du forum de Davos
23 janvier 2018
Selon le dernier Global Risks Report 2018 publié par le Forum économique mondial, les événements climatiques extrêmes tels que les tempêtes côtières et les sécheresses, les échecs en matière de réduction des émissions de carbone et de renforcement de la résilience climatique ainsi que les catastrophes naturelles comptent parmi les principaux risques qui menacent sérieusement la stabilité mondiale. Le rapport a été publié quelques jours avant le début du Forum économique mondial à Davos.
L’intensification des risques liés à l’environnement et au climat s’inscrit dans la foulée d’une année marquée par des ouragans à fort impact - Harvey, Irma et Maria – qui ont causé des dégâts considérables aux États-Unis et dans les Caraïbes, par des températures extrêmes et par la première augmentation des émissions mondiales de CO2 en quatre ans.
S’exprimant sur le rapport, Alison Martin, Responsable en chef du contrôle des risques de Zurich Insurance Group, a déclaré : « Les événements climatiques extrêmes ont été classés au premier rang des risques globaux en termes de probabilité et d’impact. Les risques environnementaux, conjugués à une vulnérabilité croissante à d’autres risques, menacent maintenant sérieusement les fondements même de la plupart de nos biens communs. Malheureusement, la réaction des gouvernements et des organisations face au changement climatique est bien trop tardive. Il n’est pas encore trop tard pour un avenir plus résilient, mais nous devons agir avec un sentiment d’urgence plus fort pour éviter l’effondrement du système dans son ensemble. »
Le rapport souligne que l’action climatique initiée par un réseau croissant de villes, États et entreprises apparaît comme un excellent moyen de lutter contre le changement climatique et les autres risques environnementaux.
Le rapport met en évidence également de nombreux domaines où nous poussons les systèmes jusqu’à leur limite, que ce soit en provoquant un taux trop élevé d’extinction des espèces, une réduction massive de la biodiversité, en mettant des systèmes agricoles sous tension et l’approvisionnement alimentaire mondial en danger ; la pollution de l’air et de la mer devient une menace de plus en plus pressante pour la santé humaine également. Certains de ces risques pourraient ensuite entraîner une série d’événements - déplacements à grande échelle, pénuries d’eau - qui mettraient en péril la stabilité sociale, politique et économique dans de nombreuses régions du monde.
Par exemple, les dernières données montrent que plus de 75% des 31 millions de personnes déplacées en 2016 ont été chassées de chez elles à la suite d’événements météorologiques.
Le rapport suggère enfin qu’une tendance à l’unilatéralisme de l’État-nation pourrait rendre plus difficile le maintien de réponses multilatérales à long terme nécessaires pour contrer la hausse des températures et la dégradation de l’environnement mondial.
Le rapport - qui partage les perspectives des experts et des décideurs mondiaux sur les risques les plus significatifs auxquels le monde est confronté - a interrogé près de 1000 personnes sur la tendance des risques pour l’année 2018. Près de 60% d’entre elles ont fait part d’une intensification des risques, et seulement 7% d’une baisse des risques.
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Messages
23 janvier 2018, 15:39, par Maillot Joseph Lucay
Autrement dit , ce rapport recommande la création très rapidement d’une institution internationale qui prendrait le relai des états pour agir à leur place dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique . Les décisions unilatérales prises par chaque Etat chacun dans son coin sans concertation avec les autres ne permettent pas de lutter efficacement contre le réchauffement climatique et aboutir à un résultat satisfaisant très rapidement .
C’est très important de reconnaître qu’il y a urgence à intervenir efficacement et de dire que cette intervention doit être menée collectivement par toute la communauté internationale par l’intermédiaire d’une institution supranationale qui aura possibilité d’agir de manière indépendante par délégation de la souveraineté des Etats qu’elle représenterait .
Comme je le disais dans une intervention précédente l’humanité est en guerre contre le réchauffement climatique et il y a de multiples batailles à mener dans tous les domaines . Mais la guerre ne pourra être gagnée que si la stratégie est définie par un commandement unique et que ce commandement unique ait la possibilité de mettre en œuvre toutes les actions nécessaires pour gagner la guerre . Il y a des batailles qui seront plus difficiles que les autres et toutes ne seront pas forcément gagnées comme cela se passe dans toutes les guerres , mais c’est l’existence d’une institution internationale supranationale bénéficiant de la confiance de tous et des moyens de son action qui permettra de sauver la planète du réchauffement climatique .