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Répondre à l’une des pires sécheresses jamais connue en Afrique australe
17 avril 2024
Une sécheresse provoquée par El Niño, l’une des plus graves jamais enregistrées, dévaste l’Afrique australe et plonge plus de 20 millions de personnes dans une famine aiguë. Au Malawi, au Mozambique, en Zambie et au Zimbabwe, des familles ont vu leurs récoltes dépérir et leurs moyens de subsistance bouleversés. Ces quatre pays ont participé aux pools d’assurance contre la sécheresse de l’African Risk Capacité (ARC) avant la saison. Les premières projections indiquent que tous les quatre recevront probablement des indemnités pour que la mauvaise récolte ne déclenche pas un cycle infini de pauvreté.
La région d’Afrique australe connaît l’une des pires sécheresses depuis des décennies, et des millions de personnes sont confrontées à une insécurité alimentaire extrême et à des pénuries d’eau, dans un contexte de crise climatique croissante, alimentée par le phénomène climatique El Niño.
Lors d’une récente réunion entre Reena Ghelani, secrétaire générale adjointe des Nations Unies et coordinatrice de la crise climatique pour la réponse à El Niño/La Niña ; Menghestab Haile, directeur régional du Programme alimentaire mondial ; et Ibrahima Cheick Diong, Secrétaire général adjoint de l’ONU et Directeur général du Groupe African Risk Capacity (ARC), les parties prenantes ont discuté de la réponse à l’urgence liée à la sécheresse afin de minimiser l’impact sur la vie et les moyens de subsistance des plus vulnérables.
La sécheresse est une preuve supplémentaire de l’impact du changement climatique, mais elle est exacerbée par El Niño, un phénomène météorologique caractérisé par des eaux inhabituellement chaudes à la surface de l’océan Pacifique qui entraîne des températures plus élevées et une baisse des précipitations dans toute l’Afrique australe. Cet épisode, enregistré comme l’un des cinq plus violents de l’histoire, a également entraîné des inondations dévastatrices dans d’autres régions du continent. En Afrique australe, environ 20 millions de personnes sont aujourd’hui confrontées à des niveaux de famine aigus en raison de la sécheresse provoquée par El Niño.
« Les agriculteurs que j’ai rencontrés au Mozambique et en Zambie m’ont dit que cette sécheresse était l’une des pires qu’ils aient connues », raconte Reena Ghelani. « Pour beaucoup d’entre eux, il n’y aura rien à récolter. C’est pourquoi nous devons fournir de toute urgence une aide alimentaire et financière. Dans le même temps, le fardeau du changement climatique sur ces pays appelle une approche plus globale et plus durable face à ces crises récurrentes.
Les extrêmes climatiques tels que les sécheresses et les inondations constituent une menace importante pour l’économie de la région, où plus de 70 pour cent de la population vit de ses activités agricoles.
« Une fois de plus, nous constatons l’impact des événements météorologiques extrêmes sur la vie et les moyens de subsistance des plus vulnérables, et nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour amortir cet impact », a souligné Ibrahima Cheick Diong. « Nos pensées vont aux gouvernements touchés et à leurs populations alors qu’ils s’efforcent de comprendre la véritable ampleur de cette catastrophe. Les conditions de sécheresse sont répandues dans toute la région de l’Afrique australe et les communautés sont confrontées à une faim extrême, à un approvisionnement en eau limité et à la malnutrition, sans parler de la perte de revenus provenant de leurs activités agricoles », a-t-il poursuivi.
Dans le cadre du programme ARC Replica, une initiative qui permet aux acteurs humanitaires de souscrire une assurance au nom d’un pays, les partenaires Replica des quatre pays - Programme alimentaire mondial, StartNetwork et Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) - sont également susceptibles de recevoir une indemnité.
En préparation de la fin de la saison agricole, l’ARC, en collaboration avec les groupes de travail techniques nationaux des quatre pays, est en train de finaliser les plans finaux de mise en œuvre (FIP).
« C’est une région que nous avons aidé par le passé en lui versant d’importantes indemnités de sécheresse. En 2022, nous avons versé 14,2 millions de dollars au partenaire Replica du Malawi, le Programme alimentaire mondial ; 5,3 millions de dollars pour la Zambie et 1,4 million de dollars pour le Zimbabwe », a déclaré Lesley Ndlovu, PDG d’ARC Limited. « L’impact des catastrophes va au-delà des coûts socio-économiques immédiats et, en l’absence d’instruments tels que l’ARC, des catastrophes telles que la sécheresse peuvent facilement piéger les populations vulnérables dans des cycles perpétuels de pauvreté. C’est un honneur pour nous de travailler en étroite collaboration avec les structures de gestion des risques de catastrophe des quatre pays et de contribuer à leurs efforts de renforcement de la résilience. C’est dans des moments comme ceux-ci que nous pouvons démontrer le véritable impact de notre travail.
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