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Sommet international de Cancùn
7 décembre 2010, par
Le Japon et le Canada ont décidé de ne pas réitérer leurs engagements vis-à-vis du Protocole de Kyoto, poussant l’ONU à publier un rapport d’une trentaine de pages visant à donner des solutions aux participants du Sommet.
Ce texte a été critiqué par de nombreux pays industrialisés et en voie de développement. Jugées incomplètes, les propositions de l’ONU ne satisfont pas les États-Unis et l’Alliance des petits États insulaires. Toutefois, les participants au Sommet sur les changements climatiques ont jusqu’au 10 décembre pour trouver des accords.
Londres et Brasilia appelés au secours
Participant aux discussions des Nations Unies sur le climat, à Cancún, le Brésil et la Grande-Bretagne ont été priés de contribuer à sortir de l’impasse sur l’avenir du Protocole de Kyoto. « Les conditions sont réunies pour parvenir à un ensemble de décisions large et équilibré. Cependant, l’issue positive que réclament nos sociétés n’est toujours pas complète », a déclaré la ministre mexicaine des Affaires étrangères, Patricia Espinosa, lors d’une réunion avec plusieurs ministres de l’Environnement.
Les délégations anglaise et brésilienne vont tenter de réduire les profondes divisions opposant pays riches et pays pauvres à propos du Protocole de Kyoto. Celui-ci contraint une quarantaine de pays développés à réduire, d’ici 2012, leurs émissions de gaz à effet de serre de 5,2% sous leur niveau de 1990.
Le Japon, la Russie et le Canada ont affirmé leurs déterminations de ne pas signer de prolongation de cet accord, et ont réclamé un nouveau traité, plus large, qui engagerait aussi les pays émergents.
Intervention critiquée de l’ONU
Afin d’apaiser les tensions, et débloquer les négociations, notamment avec le refus du Japon et du Canada de réitérer le Protocole de Kyoto, l’ONU a remis le samedi 4 décembre un projet de texte d’une trentaine de pages exposant des possibilités d’accord à mi-parcours des débats. Contrairement aux attentes onusiennes, le document est sévèrement critiqué par les États-Unis, et certains pays en développement.
Cependant, ce texte ne fait que raviver les désaccords qui existent déjà entre pays riches et pays pauvres sur la question de la baisse des émissions de gaz à effet de serre, mais aussi sur le montant de l’aide à apporter aux pays pauvres. Pour le numéro deux de la délégation américaine, Jonathan Pershing, « Il (le texte, NDLR) ne va pas au bout des choses, dans certains domaines ». Celui-ci évoque la garantie que les pays émergents, comme la Chine et l’Inde, respecteront leurs promesses de freiner la croissance de leurs émissions de CO2.
Dans le domaine des récriminations, Dessima Williams, de la Grenade, qui dirige l’Alliance des petits États insulaires, a expliqué que « ce document manque d’ambition pour la tâche urgente de protéger les îles et le monde plus généralement, dans le contexte de la menace des changements climatiques ». En effet, le document prévoit de reprendre les objectifs fixés par la Conférence de Copenhague, l’an dernier : contenir la hausse mondiale des températures en dessous de 2 degrés par rapport à leur niveau d’avant l’ère industrielle. Les négociations risquent de ne pas aboutir, malgré un optimisme prudent de la part de l’hôte, le Mexique.
Céline Tabou
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