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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Réduction de l’utilisation du charbon et du pétrole
10 janvier 2014
Dans une étude de la Commission européenne que s’est procuré ’Les Echos’, l’institution souhaite mettre en place « une politique volontariste pour 2030 », afin de réduire les coûts liés aux importations d’énergies fossiles.
D’après le rapport de travail préliminaire obtenu par "Les Echos" ces nouvelles mesures permettraient la création de 1,25 million d’emplois et une croissance supplémentaire du PIB de 0,46%. Basées sur modèles macroéconomiques internes, l’étude évalue l’impact des différents scénarios possibles afin de préparer les discussions à venir sur le paquet énergie-climat à l’horizon 2030. Le sujet devrait également être inscrit à l’ordre du jour du sommet européen des 20 et 21 mars.
En janvier 2013, cinq objectifs ont été fixés pour toute l’UE, dont celui concernant le « changement climatique et énergies durables ». Cet objectif fixe la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 20% (voire de 30%, si les conditions le permettent) par rapport à 1990, l’utilisation d’énergie provenant de sources renouvelables à hauteur de 20% et l’augmentation de 20% de l’efficacité énergétique.
A l’horizon 2030, il s’agirait de porter à 40% la réduction des gaz à effet de serre par rapport à 1990 (20% en 2020) et à 30% la part des renouvelables dans la consommation finale d’énergie (également 20% en 2020). La Commission européenne souhaite être efficace en matière énergétique. Selon les experts, « une baisse de 40% sur les émissions permettrait 645.000 créations d’emplois supplémentaires en Europe, qui seraient portées à 1,25 million si on lui adjoignait des objectifs sur la pénétration des renouvelables et l’efficacité énergétique », a noté "Les Echos".
Cette politique aurait un impact négatif sur les industries extractives, mais celui-ci serait compensé par « les gains dans l’industrie de base, l’ingénierie, les transports ou le bâtiment ». En réponse aux détracteurs, les experts estiment dans ce rapport qu’en conservant la même politique énergétique, le coût s’élèverait et pèserait sur le PIB, passant de 12,8% en 2010 à 14,2% en 2030, en raison de la hausse des prix des énergies fossiles à l’importation, le coût des constructions à restaurer et entre la construction de nouveaux réseaux.
Dans une lettre, adressé au commissaire européen à l’Energie Günther Oettinger et à son homologue au Climat Connie Hedegaard, daté du 23 décembre, les ministres de l’Energie de huit des 28 pays de l’Union européenne ont appelé à l’établissement d’un nouvel objectif européen pour les énergies renouvelables à l’horizon 2030. Les ministres d’Allemagne, de France, d’Italie, de Belgique, d’Irlande, du Portugal, du Danemark, et d’Autriche ont expliqué qu’en « s’appuyant sur l’intégration appropriée des renouvelables et de l’efficacité énergétique nous pouvons assurer aux citoyens et aux entreprises européens une énergie sûre, compétitive et propre pour le futur ».
Ces derniers souhaitent « cadre robuste et de long terme défendant les sources d’énergie renouvelable » même si les « points de vue sur les modalités opérationnelles sont variés ». L’objectif unique de –40% sur les émissions couterait 2 milliards d’euros en plus par an et à terme à 22 milliards dû à la pénétration des renouvelables et l’efficacité énergétique.
Mais ces sommes seraient rapidement compensées par les économies réalisées sur les dépenses liées à la pollution, qui atteindraient alors entre 17 et 33 milliards d’euros par an. Par ailleurs, les économies sur les importations énergétiques de l’Europe pourraient atteindre 547 milliards d’euros sur la période 2011-2030, selon le scénario le plus contraignant.
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