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Les pauvres les plus touchés
25 juin 2015
En septembre 1996, à la veille du 2e tour (15 septembre) de la législative partielle opposant Margie Sudre et Claude Hoarau, Paul Vergès, au cours d’une conférence de presse, privilégiait un phénomène « mettant en cause l’avenir même de l’humanité » : le réchauffement climatique. Est-il besoin de rappeler une fois encore les quolibets qui ont accueilli cette analyse ?
Aujourd’hui, tout le monde convient de l’importance planétaire de ce changement et les événements climatiques qui se succèdent montrent combien il est urgent pour les humains de s’unir pour rechercher les moyens de changer réellement de modes de production, de consommation et de déplacements.
Le mois dernier, l’Inde a subi, 15 jours durant, une température caniculaire supérieure à 50 degrés. Cette canicule a causé la mort de 2207 personnes, dont 1636 dans le seul État d’Andhra.
Depuis samedi dernier, c’est le sud du Pakistan qui se trouve affecté par la canicule.
Celle-ci frappe notamment les plus démunis dans la mégalopole de Karachi (Sud). On dénombre déjà plus de 700 décès.
Pour faire face à l’afflux de patients suffocants, le gouvernement provincial du Sind a imposé ces derniers jours l’état d’urgence dans tous les hôpitaux, rappelant les médecins en vacances et augmentant les stocks de médicaments.
L’hôpital Jinnah, le plus grand de la ville, a reçu ces jours-ci 3 000 personnes victimes de malaises dus à la chaleur, dont plus de 200 étaient déjà mortes ou sont décédées sur place, a indiqué l’un de ses médecins, le docteur Sami Jamali.
La plus grande organisation caritative du Pakistan, Edhi, a de son côté indiqué que ses deux morgues de Karachi, ville tentaculaire aux multiples quartiers et bidonvilles, avaient « reçu plus de 400 dépouilles de victimes de la canicule ces trois derniers jours ». La chaleur restait forte mardi après-midi à Karachi, autour de 44,5 degrés, et seules des pluies abondantes permettraient d’atténuer les conséquences de cette vague de chaleur.
Lundi, le docteur Sher Shah, ancien président de l’Association des médecins du Pakistan, avait prévenu que les populations les plus pauvres de Karachi, souvent privées d’électricité, étaient les plus menacées par la canicule, et qu’elles le seraient encore plus si le temps restait très chaud et humide.
Le gouvernement du Sind a par ailleurs décrété mardi jour férié, pour encourager la population à rester calfeutrée chez elle. Nombre des victimes recensées ces derniers jours étaient des travailleurs journaliers frappés par la chaleur en plein travail à l’extérieur.
Cette canicule intervient par ailleurs quelques jours après le début du mois de ramadan, au cours duquel les musulmans pratiquants s’abstiennent de manger et boire entre le lever et le coucher du soleil.
Tahir Ashrafi, l’un des leaders religieux du pays, a appelé les plus vieux et faibles à ne pas jeûner, notamment à Karachi, en rappelant que cela était permis par le Coran « pour préserver la santé de ceux qui risquent de tomber malades ou mourir » s’ils cessent de s’alimenter trop longtemps.
Sources : Journal de Montréal, Reuter et AFP
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