
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
L’ONU rappelle les priorités de la communauté internationale
24 novembre 2010
Pour le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, les trois grandes priorités de la communauté internationale doivent être le changement climatique, la lutte contre la pauvreté et les interventions humanitaires lors de crises et de catastrophes.
S’exprimant lundi devant les étudiants de l’École de diplomatie et de relations internationales de l’Université de Seton Hall du New Jersey, aux États-Unis, Ban Ki-moon, a souligné lundi que l’action de l’ONU et de ses États membres devait se concentrer sur l’établissement d’un « monde plus vert et durable pour tous », « d’un monde plus prospère pour tous » et « d’un monde plus sûr ».
« Le changement climatique n’est pas de la science-fiction ; c’est de la science des faits. Nous en voyons chaque jour les effets autour de nous », a déclaré le chef de l’ONU devant les étudiants. « Pour la première fois, tous les pays développés et en développement se sont mis d’accord sur l’objectif de limiter l’augmentation de la température globale de deux degrés Celsius », a-t-il ajouté.
Sur la lutte contre la pauvreté, le Secrétaire général de l’ONU a rappelé que de « réels progrès ont été faits ». « Nous contrôlons des maladies mieux qu’auparavant comme le paludisme, la polio et le SIDA », a-t-il ajouté.
Sur la troisième priorité, Ban Ki-moon a souligné que les Nations Unies « étaient les premiers à répondre lorsque les catastrophes frappaient ». « Nous sommes sur le terrain avec des médicaments, des abris, l’assainissement, la nourriture, l’eau et la protection », a-t-il précisé.
« Au milieu d’autant d’incertitudes, notre futur dépend, de comment nous travaillons ensemble. Notre futur dépend de ce que les Nations Unies peuvent apporter. Pas seulement une Organisation qui amène les pays du monde à parler ensemble et à débattre mais à se mettre d’accord et à agir », a-t-il conclu devant les étudiants de l’École de diplomatie et de relations internationales de l’Université de Seton Hall du New Jersey.
Obtenir des résultats à Cancún
Dans moins d’une semaine va se réunir à Cancún la conférence des parties de la Convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques (UNFCC). L’UNFCCC est un traité international qui rassemble 194 États signataires. Il est destiné à encadrer les avancées à réaliser à l’échelle mondiale pour réduire le réchauffement climatique et faire face aux augmentations de la température mondiale. Certains pays ont approuvé un ajout à ce traité, le Protocole de Kyoto, qui comprend des mesures plus fortes et juridiquement contraignantes. À l’approche de ce sommet, l’ONU demande qu’il débouche sur des progrès significatifs.
« D’importants progrès sont possibles à Cancún, mais cela ne veut pas dire que nous attendons que tous les problèmes soient résolus », a déclaré lundi le Sous-Secrétaire général de l’ONU pour la planification des politiques, Robert Orr, à l’occasion d’une conférence de presse au siège de l’ONU, à New York.
Alors que se déroulera du 29 novembre au 10 décembre, à Cancún, au Mexique, la prochaine conférence des parties à la Convention-cadre de l’ONU sur les changements climatiques (CCNUCC), le responsable onusien a estimé que « le moment est venu pour des décisions ».
« Nous voulons des résultats concrets. Nous avons besoin d’un ensemble de décisions et de résultats. Un ou deux accords ne seront pas suffisants », a-t-il ajouté devant les journalistes, avant de tempérer toutefois son propos en soulignant que « les changements climatiques ne se sont pas produits en une nuit ». « Nous ne les règlerons donc pas en une nuit, mais il y a besoin de progrès à Cancún même si personne n’attend de solution définitive », a-t-il précisé.
Robert Orr a également indiqué que le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, participerait à la réunion de haut niveau, pour appeler les pays à œuvrer pour un ensemble équilibré de décisions et d’accords qui fassent avancer l’agenda de la lutte contre le changement climatique.
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)