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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
A cause d’événements climatiques extrêmes
6 août 2016
La France subit lourdement les conséquences des événements climatiques extrêmes survenus au premier trimestre. Selon le service statistique du ministère de l’Agriculture, la production de blé chutera de 30 % à cause de pluies et du manque de lumière. Du jamais vu depuis la grande sécheresse de 1976.
Depuis le début de l’année, la France a connu des événements climatiques inhabituels. Ce sont en particulier les fortes pluies et les inondations qui ont touché le Bassin parisien, une importante région céréalière. Les répercussions sont désormais prévisibles. Selon Agreste, service statistique du ministère de l’Agriculture, la production de blé va connaître une baisse importante en France, de l’ordre de 30 %, pour environ 29 millions de tonnes.
Agreste indique que l’excès d’eau et le manque de lumière sont les explications, ainsi que la prolifération des maladies et des ravageurs causées par les conditions climatiques. C’est du jamais vu depuis la sécheresse de 1976.
C’est dans le bassin parisien et les régions du nord et de l’est de la France que la chute des rendements est la plus forte. Les rendements devraient ainsi reculer de 40 % en Ile-de-France, de 38 % dans les Hauts-de-France et de 31 % dans le Centre-Val de Loire par rapport à la moyenne 2011-2015, selon les calculs du ministère.
Cet événement se déroule alors que dans le monde, le secteur des céréales est confronté à des récoltes exceptionnellement élevées qui vont tirer les prix vers le bas. Les céréaliers s’attendent donc à des pertes importantes. Les aides du gouvernement seront-elles suffisantes ?
Le secteur le plus prospère de l’agriculture française va donc vivre des moments difficiles. Mais si ce phénomène climatique exceptionnelle devait se répeter, alors il entrainerait d’importantes remises en cause.
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