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Après la conférence de Bangkok
13 octobre 2009
Les négociateurs d’un accord climatique qui devrait être scellé à Copenhague, au Danemark, ont été invités vendredi à obtenir le mandat de leurs dirigeants politiques, qui est essentiel pour faire avancer le processus, avant la conférence sur le climat dans la capitale danoise, en décembre prochain.
Alors que les négociations de Bangkok, en Thaïlande, ont pris fin ce vendredi, le secrétaire exécutif de la Convention Cadre sur le changement climatique (UNFCCC), Yvo de Boer, a invité les négociateurs à la réunion de Bangkok à prendre les instructions de leurs dirigeants pour compléter leurs travaux avant la prochaine réunion à Barcelone, en Espagne.
"Les négociateurs doivent se servir de cette interruption de trois semaines pour retourner dans leurs capitales et dire à leurs dirigeants qui ont demandé des avancées majeures à Copenhague où nous en sommes dans le cadre des négociations et pour obtenir de ces dirigeants le mandat de résoudre les principaux problèmes politiques qui se posent", a déclaré M. Boer à la presse à la fin de la réunion vendredi.
La réunion de deux semaines s’est conclue sur les progrès réalisés sur ce qui doit constituer "les briques et le ciment" de la conférence de Copenhague, mais il y a une absence claire d’engagement sur les questions politiques essentielles en ce qui concerne les objectifs de financement et de réduction des émissions à moyen terme nécessaires pour conclure un accord international constructif sur le changement climatique.
"Un leadership audacieux doit lever les obstacles autour de l’essentiel des objectifs et des financements pour permettre aux négociateurs de continuer à avancer", a déclaré M. de Boer.
Selon l’UNFCCC, les parties ont progressé sur les questions de l’adaptation, du transfert de technologie et de renforcement des capacités. Elles sont également parvenues à un accord sur les questions techniques relatives à l’exploitation des forêts et des terres, la manière d’évaluer les potentialités de réchauffement climatique des nouveaux gaz à effet de serre et le nombre d’options pour le renforcement du Mécanisme de développement propre du Protocole de Kyoto.
Cependant, peu de progrés ont été enregistrés sur la question des objectifs de réduction des émissions à moyen terme et sur la clarification de la question des financements dont ont besoin les pays en développement pour mener des actions supplémentaires afin de limiter la croissance de leurs émissions et s’adapter aux effets inévitables du changement climatique.
"Un bon exemple que les pays industrialisés peuvent donner est de se montrer plus ambitieux dans le contexte de l’accord international qui sera passé à Copenhague et de s’engager à réduire leurs émissions d’au moins 40% comme l’a fait la Norvège aujourd’hui (vendredi)", a estimé M. de Boer.
Il a révélé que beaucoup de pays en développement craignaient qu’il y ait une tentative de "tuer" le Protocole de Kyoto, sans qu’autre chose de mieux ne soit proposé. "Ceci, a-t-il indiqué, est une source de frustration importante, particulièrement parmi les pays en développement".
Les négociations en Thaïlande seront suivies par cinq autres jours de réunion à Barcelone (du 02 au 06 novembre) avant la Conférence de l’ONU sur le changement climatique, à Copenhague (du 07 au 18 décembre).
L’accord sur le changement climatique, qui sera passé à Copenhague a pour objectif de s’assurer d’une action renforcée pour aider les plus vulnérables et les plus pauvres à s’adapter aux impacts du changement climatique.
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