
Turbulence à la Mairie de Saint-André
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8 novembre 2022
Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unis a lancé ce 7 novembre aux pays participants à la COP27 que le monde va droit au "suicide collectif" si les États n’agissent pas vite et fort face à la crise climatique qui s’accélère.
"L’humanité a un choix : coopérer ou périr. C’est soit un Pacte de solidarité climatique soit un Pacte de suicide collectif", a lancé Antonio Guterres aux près de 100 chefs d’Etat et de gouvernement réunis à Charm el-Cheihh au début de la COP27, qui durera jusqu’au 18 novembre.
"Nous sommes sur l’autoroute vers l’enfer climatique avec le pied toujours sur l’accélérateur", a encore lancé le secrétaire général, dont les avertissements sur la gravité de la crise climatique deviennent de plus en plus stridents et virulents.
Face à l’urgence climatique, les institutions onusiennes affirment qu’il faut désormais mettre le maximum de pression sur les pays pour qu’ils renforcement la lutte contre le réchauffement, malgré la "polycrise" qui est au devant de la scène internationale : guerre en Ukraine, crises énergétique et alimentaire, retour de l’inflation, récession qui menace, montée des eaux, ...
Antonio Guterres a assuré que si les autres crises passeront, le climat est "la question déterminante de notre temps", qu’il serait "inacceptable, scandaleux et autodestructeur" de reléguer "au second plan".
D’ailleurs, les scientifiques parviennent à prouver depuis quelques années que le changement climatique a un impact multiples sur les territoires : inondations dévastatrices, canicules, sécheresses mettant à mal les récoltes.
Or les engagements actuels des pays sont loin d’être à la hauteur des objectifs de l’accord de Paris de 2015, qui visait à contenir le réchauffement de la planète "nettement" sous +2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, et si possible à +1,5°C.
Les dernières "contributions nationales", si elles étaient respectées, laisseraient le monde sur une trajectoire de +2,4°C d’ici à la fin du siècle, selon l’ONU. Mais avec les politiques actuelles, c’est la catastrophe, car le monde se profile vers +2,8°C.
Pour l’heure, les yeux se tournent vers le regain de tensions entre la Chine et les États-Unis, qui fragilisent la lutte climatique. Le patron de l’ONU les a appelés à assumer leur "responsabilité particulière".
Le volet des finances est un des dossiers les plus épineux à la COP27, particulièrement l’aide des pays riches aux plus pauvres, les moins responsables des émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement mais souvent les plus exposés aux impacts.
Pour la première fois, la question du financement des dommages déjà causés par le réchauffement a été inscrit à l’agenda officiel de la COP. Or les effets se comptent déjà en dizaines de milliards de dollars et devraient croître fortement.
Les pays vulnérables exigent un mécanisme de financement spécifique, que rejettent les plus riches. Or les pays en voie de développement craignent de voir la responsabilité des pays riches mise en cause et arguent que le financement climat est déjà suffisamment complexe.
La COP27 ne débouchera pas sur une décision, les discussions devant se poursuivre jusqu’en 2024, provoquant la colère des militants, qui réclamaient une décision dès la COP27. D’autant plus qu’une divergence née entre pays du Nord et du Sud. Les riches n’ont toujours pas tenu leur engagement de fournir en 2020 aux plus pauvres 100 milliards de dollars par an d’aide pour la réduction des émissions et l’adaptation aux effets du changement climatique.
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