
Kèl volonté zénéral ! In pé la boir kossa !
30 juin, parMézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Communiqué de la COI
21 novembre 2022
Garantir un traitement différencié pour les îles en développement. C’était, en substance, le message essentiel porté par le Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien à la COP27. Et pour cause : l’impact climatique dans les îles sont la bande-annonce des disruptions globales.
Présent à Charm-el-Sheikh du 10 au 17 novembre, Pr. Vêlayoudom Marimoutou a fait valoir les besoins spécifiques des îles. En effet, comme l’Afrique, les îles en développement sont des contributeurs minimes des émissions de gaz à effet de serre. Elles sont même marginales comptant pour moins de 1% du total des émissions entre 1960 et 2014 !
L’action climatique est inscrite dans le génome de la COI. Dès la fin des années 1980, la COI a mis en œuvre ses premiers projets dans les domaines de la météorologie et de la préservation de l’environnement. Graduellement, l’action climatique de la COI s’est renforcée.
A l’évènement parallèle sur « l’état du climat en Afrique », coorganisé par l’Union africaine, l’ACMAD et la COI, Pr. Vêlayoudom Marimoutou explique : « A travers ses projets et le soutien de ses partenaires au développement, la COI est pleinement engagée en soutien à ses Etats membres pour renforcer la résilience climatique régionale. C’est un chantier de longue haleine qui oblige à une approche holistique qui lie science et technologies, innovation et formation, équipements et échanges, diplomatie et engagement citoyen. »
D’abord, le constat :
jusque-là, les promesses pour s’adapter sont insuffisantes ; les engagements pour accompagner nos efforts et nos actions sont insuffisants ; les moyens pour nous permettre d’être résilient sont insuffisants. Et à ces insuffisances s’ajoutent un sentiment d’iniquité. Nos îles d’Afrique subissent les dommages des dérèglements climatiques dont elles ne sont pas responsables.
Ensuite, les recommandations formulées au segment de haut niveau :
En plus de ces sujets cruciaux, le Secrétaire général de la COI a appelé à un investissement massif en faveur de la formation, des technologies et du transfert des technologies. Il a également souligné l’importance de mobiliser davantage la science pour développer des solutions et soutenir la prise de décision.
« Dans tous nos pays d’Afrique, il faut former la jeunesse, offrir des opportunités d’emplois en phase avec les défis climatiques, énergétiques et environnementaux, les nouvelles tendances socioéconomiques et l’aspiration au bien-être de nos populations ; ou autrement dit, offrir des opportunités en phase avec le devenir du monde. Plus de 60% des métiers de demain n’existent pas aujourd’hui et il ne fait aucun doute que les « emplois climatiques » constitueront une part importante de ces métiers. L’investissement, c’est maintenant qu’il faut le consentir. Il y a urgence ! », a insisté Pr. Marimoutou.
La COP27 a été l’occasion d’échanges nombreux et utiles avec les partenaires. La délégation de la COI a ainsi eu des entretiens avec les premiers responsables du Forum du Pacifique, de la Commission de l’Union africaine, du Commonwealth ou encore de l’Organisation des Etats ACP.
La COI a coorganisé deux événements parallèle, l’un avec l’Initiative sur les risques climatiques et les systèmes d’alerte précoce (CREWS) et le Centre pour la résilience des Caraïbes, l’autre avec la Commission de l’UA et l’ACMAD. Elle a également participé à des sessions avec l’OAECAP – programme ClimSA, le Secrétariat du programme régional océanien de l’environnement, entre autres.
Enfin, la COI a soutenu la participation de délégués des Etats membres pour les négociations à travers le projet GGCA+ financé par OEACP – UE, selon le communiqué de la COI.
Mézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
10 000 citoyennes et citoyens – paysans, scientifiques, médecins et victimes – se sont mobilisés dans plus de 60 villes en France pour alerter sur (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Médam zé Méssyé, la sossyété zot i ansouvien lo tan l’avé lo pou. Sa té in problèm pou zabitan noute péi pars pou-la sa i grate la tète, é i rann (…)
Les députés ont inscrit dans la loi un premier objectif d’atteindre « 87,5% » du Smic dès le 1er janvier 2026, tout en assurant de « prioriser le (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)