Les activités militaires sont un fléau pour l’environnement. Elles représentent 5,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit plus que l’aviation et la marine marchande réunies.
Les conflits détruisent des écosystèmes. Sols pollués, eaux contaminées, biodiversité anéantie : les guerres laissent des cicatrices durables sur la planète.
Avec une trêve temporaire, les écosystèmes pourraient souffler. Cela réduirait les émissions et limiterait les dégâts environnementaux.
Le climat est une cause commune. Il transcende les divisions politiques et exige une réponse globale.
Suspendre les conflits permettrait de concentrer les efforts sur des solutions pour réduire les émissions et protéger les ressources naturelles. La COP Truce incarne cette ambition collective.

Conflits et crise climatique : un cercle vicieux

Les guerres aggravent la crise climatique. Elles détruisent infrastructures et économies locales. Résultat : des populations vulnérables, moins résilientes face aux catastrophes climatiques.
En parallèle, le changement climatique alimente les tensions géopolitiques. La lutte pour les ressources s’intensifie, créant de nouveaux conflits.
La COP Truce est bien plus qu’un cessez-le-feu. Elle montre que la paix et l’action climatique sont indissociables. Cette initiative souligne que les crises mondiales appellent des réponses solidaires. Protéger la planète et les générations futures est une priorité.

Une invitation à l’unité

Suspendre les hostilités montre que paix et durabilité vont de pair. À Bakou, les nations peuvent prouver leur engagement pour une justice climatique et un avenir vivable.
La Trêve appelle à dépasser les différends. C’est un geste d’unité mondiale.
La réussite de la COP Truce serait un pas décisif. Elle rappelle que bâtir un avenir durable passe par une coexistence harmonieuse entre paix et écologie.
Face aux défis climatiques, la paix devient une condition essentielle. Ensemble, la communauté internationale peut ouvrir la voie à un futur résilient et solidaire.