
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Interrogations sur la question du financement
16 décembre 2015
L’allégresse et les congratulations qui ont clos le Sommet de Paris sur le climat ont même gagné les délégations africaines. Habituellement laissées sur la touche, elles s’étaient rendues à l’évènement organisé par les Nations Unies bien déterminées à se faire entendre.
La ministre sud-africaine de l’Environnement, Edna Molewa, s’est montrée ravie de l’accord conclu. « J’en sauterais de joie. L’Afrique du Sud accepte l’Accord de Paris comme étant le meilleur accord possible pour le moment. Il n’est pas parfait, mais il représente un grand pas en avant pour les pays en développement », a-t-elle dit.
Selon Amina Mohammed, nouvelle ministre de l’Environnement du Nigeria, « l’Afrique quitte Paris la tête haute avec [les décisions relatives à] l’adaptation et [au] financement des énergies renouvelables. »
S’il ne s’agissait que d’argent, l’Afrique a eu ce qu’elle voulait dès le début de la conférence. L’Union européenne, la Suède et le G7 ont annoncé une contribution commune de 10 milliards de dollars pour la nouvelle Initiative africaine pour les énergies renouvelables, dont l’objectif est de fournir au moins 300 GW d’électricité à l’horizon 2030 grâce aux énergies propres.
Ces promesses en poche, les délégations africaines se sont faites discrètes au Sommet. Elles ont laissé à la société civile la charge d’exiger des prises de position plus énergiques sur les compensations face au changement climatique et une baisse plus importante des émissions des pays industrialisés.
« Cet accord ne permettra pas au monde de rester en dessous de 1,5 degré et cela se traduira par davantage de pertes et dommages, d’inondations, de sécheresses, de hausses du niveau de la mer et de conflits en Afrique », a dit Sam Ogallah, de l’Alliance panafricaine pour la Justice climatique.
Des promesses de fonds ponctuelles sont insuffisantes pour pourvoir aux billions de dollars qui risquent d’être nécessaires pour lutter contre le changement climatique. De tels financements doivent être prévisibles, transparents et suivis.
« Et comment ces fonds seront-ils gérés ? À quel point pouvons-nous être sûrs qu’ils arriveront véritablement à destination ? » a demandé l’écrivain et militant écologiste Wanjohi Kabukuri. Étant donnée la multiplicité des voies de financement, « il sera pratiquement impossible d’en suivre la trace et de demander des comptes à toutes les parties prenantes, » a-t-il dit à IRIN.
Il existe actuellement plus de 40 mécanismes de financement de la lutte contre le changement climatique. Leurs attributions se chevauchent et leurs procédures de communication des états financiers sont variées. À mesure que les financements augmentent, cela ne va aller qu’en se compliquant. Le tableau ci-dessous tente de clarifier les multiples acronymes désignant ces mécanismes.
http://www.irinnews.org/report/1022...
(Source IRINEWS)
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