
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Moment important de la 2ème journée de la Conférence internationale sur le changement climatique
8 décembre 2009, par
Su Wei, chef des négociateurs de la Chine à Copenhague, a rappelé la proposition de son pays de baisser d’ici 2020 ses émissions de gaz à effet de serre de 45% par unité de PIB. Il a aussi commenté les propositions venant de l’Europe, du Japon et des États-Unis. Voici le résumé d’un article qui sera publié le 9 novembre à partir de 6h GMT dans sa version intégrale.
C’est en chinois que Su Wei, par ailleurs Chef du département des changements climatiques au ministère du Développement national, s’est adressé aux nombreux journalistes qui se sont pressés au siège de la délégation. La conférence avait été reportée de deux heures, et son lieu initial a été changé.
Après la présentation de la proposition chinoise, Su Wei a répondu en détail aux questions des journalistes.
Lors de son intervention, Su Wei a répété plusieurs fois que les pays du Nord, c’est-à-dire les anciennes puissances coloniales, ont une « responsabilité historique » dans les émissions de gaz à effet de serre et le changement climatique. « Les causes du réchauffement climatique, ce sont deux cents ans d’émissions des pays développés ». Cela montre bien que le problème ne se pose pas de la même manière selon que l’on fait partie du groupe des pays industrialisés depuis plus de 200 ans, ou alors de la grande majorité de l’humanité.
Su Wei s’est appuyé sur les règles de la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques et sur la pratique réelle pour évoquer les propositions de l’Occident. Il a tout d’abord relativisé la proposition de l’Union européenne : elle correspond à une baisse de 1,5% par an en moyenne, soit à peine la moitié des engagements de l’UE sur la période 2012-2020. Et aller jusqu’à 30% de baisse, cela se ferait 1,93% de baisse annuelle moyenne, soit 0,5% en dessous des engagements initiaux.
La proposition de diminuer de 25% les émissions du Japon est un progrès positif à mettre au crédit du nouveau gouvernement. Mais il faut selon lui s’interroger sur la composition des 25% afin de connaître la part du public et du privé dans l’effort. Et ces 25% correspondent en réalité à une baisse de 8% par rapport à 1990, l’année de référence des Nations-Unies pour évaluer les efforts des pays riches.
Quant aux Etats-Unis, « quel type de plan, c’est une question cruciale pour la réussite de Copenhague », a-t-il précisé. Car les 17% de réduction des émissions annoncées ne représentent en réalité que 1% de réduction par rapport à 1990.
Su Wei conclut en évoquant l’approche du pic des émissions de gaz à effet de serre, c’est-à-dire la date à partir de laquelle le niveau de ces émissions doit décroître. Rappelons que pour le GIEC, ce pic doit survenir avant 6 ans.
Le négociateur en chef de la Chine a souligné que si les pays riches transforment leurs engagements en réalité, alors ce pic se rapprochera.
Quand à la proposition d’un fond de 10 milliards de dollars pour venir en aide aux pays menacés par l’impact du réchauffement climatique, Su Wei constate que rapporté à la population mondiale, cela représente moins que le prix d’une tasse de café.
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Messages
22 décembre 2009, 09:45, par Bruno DELL
Paris, le 22 Décembre 2009
Nous, les hommes de cette terre où nous vivons, sommes tous responsables de l’état dans lequel nous l’avons amenée. Le problème des Etats unis et de la Chine est notre problème autant que le leur car c’est de notre vie qu’il s’agit. A nous d’aider ces pays à abandonner le charbon et le pétrole, à nous de trouver de nouvelles solutions d’energie propre.
Nous devons mettre au service de cette idée vitale (quelle autre energie, comment supprimer, vite et efficacement notre dépendance à ces deux energies négatives pour l’ensemble de l’humanité) toute notre inventivité et toute notre volonté.
Pour cela nous devons trouver des idées, et les proposer à ces pays, les aider à les mettre en œuvre, répartir en leur faveur ce qu’ils perdront sans doute dans cette transformation. Il y va de notre avenir à tous. Cela passe par notre performance technique, organisationnelle, mais aussi par notre capacité à donner notre aide, nos idées, notre argent s’il le faut.
A ces pays qui prennent de plein fouet des modifications qui s’imposent à nous tous, il faut leur dire que nous allons les aider, nous n’avons pas le choix. C’est un destin collectif qui s’impose à nous. Une nouvelle aventure, autant dire un pari. Après Pascal, il faut parier que nous allons continuer à vivre et que nous allons faire tout ce que nous pouvons pour cela.
Il faut donc créeer mondialement une mobilisation de tous les hommes sur cet objectif : comment remplacer le charbon et le pétrole afin de cesser la production de gazs à effet de serre ?
Il faut collecter toutes les données, les analyser, mettre en œuvre les meilleures, convaincre les Etats unis et la Chine que les idées trouvées sont indispensables à la survie de l’humanité...
L’état francais se doit de mettre en œuvre cette mobilisation mondiale efficacement, de collecter les données et de les faire appliquer, avec l’aide de tous les pays qui le souhaitent.
Il se doit de créer très vite une organisation mondiale de collecte, analyse, experimentation et réalisation des idées les meilleures pour prendre très vite le tournant vers un monde plus responsable et plus collectif.
Il se doit également de tout mettre en œuvre pour que ce pari réussisse avec l’aide de tous. Enfin, sa responsabilité est aussi de faire prendre conscience au monde que si nous voulons continuer à vivre, nous devons absolument respecter la nature et inverser le traitement que nous lui imposons.
Bruno DELL.
31 décembre 2009, 12:41, par Joseph NIMPAGARITSE
Je suis tout afin d’accord avec vos idées combien louables
Il faut réduire en particulier toutes les sources artificielles des G E S
Il faudra récompenser ces pays les plus polluants.
A suivre par notre adresse