
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Changement climatique
19 janvier 2011, par
L’Australie, le Brésil, le Sri Lanka subissent des pluies diluviennes. Les glissements de terrain et inondations ont entraîné la mort de plusieurs centaines de personnes, et ces catastrophes ne seraient pas uniquement dues aux intempéries, mais à une politique environnementale et territoriale défaillante.
Le Brésil et l’Australie vivent les pires inondations de leur histoire. Les deux États affirment que les conséquences économiques devraient se faire sentir dans les années à venir. Les autorités de certaines régions admettent que la reconstruction risque d’être difficile, car coûteuse et longue.
Plus de 650 morts au Brésil
Les pluies diluviennes qui sont tombées ces derniers jours représentent l’une des pires catastrophes qu’ait connues le Brésil. Le coût de la reconstruction des routes et des habitations est estimé à 900 millions d’euros. Pour l’heure, plus de 14.000 personnes sont sans abri, et une dizaine de zones agricoles sont encore isolées. Les masses de boue et les glissements de terrain ont ravagé en premier lieu les banlieues pauvres, où les huttes et les maisons ont été construites sur des pentes exposées aux dangers naturels.
L’armée brésilienne a profité d’une accalmie en fin de semaine dernière pour envoyer des hélicoptères évacuer les personnes isolées, et apporter de l’eau potable et des vivres dans certaines localités. Mais les conditions climatiques ne permettent pas aux secouristes de faire plus. Les autorités ont indiqué que le bilan allait s’aggraver à mesure que des corps seront dégagés des décombres. Certains habitants ont dénoncé la lenteur des autorités à faire parvenir du ravitaillement aux communautés isolées et à aider les familles à dégager les victimes.
Le Sud de l’Australie touché
Le coût des inondations a été estimé, pour le moment, à 5 milliards de dollars australiens. « Il semble que cela va être, en termes économiques, la plus grande catastrophe naturelle de notre histoire. Cela va nécessiter des milliards de dollars de la part du Commonwealth et du gouvernement, et cela aura un impact au niveau des gouvernements locaux également », a déclaré le ministre des Finances, Wayne Swan, sur la radio ABC (Australian Broadcasting Corp).
Les fortes précipitations ont touché plus de 50 villes et villages de l’État de Victoria, dans le Sud du pays. La ville de Horsham, à 300 km au Nord-Ouest de la capitale de l’État, Melbourne, est coupée en deux par les eaux, et des milliers de foyers sont privés d’électricité. Les inondations qui ont affecté 5 États australiens devraient persister dans le Sud durant les semaines à venir.
La rivière Wimmera devait atteindre son plus haut niveau et provoquer de nouvelles inondations, menaçant des centaines d’habitations, a déclaré un porte-parole des services de secours à l’Agence France Presse. Les autorités ont découvert une première victime dans l’État de Victoria. Un enfant de 8 ans, porté disparu depuis lundi 17 janvier, a été découvert hier par les plongeurs.
Plus d’un million de personnes affectées par les inondations
Les inondations au Sri Lanka ont fait 38 morts et affecté plus d’un million de personnes, a indiqué lundi le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), citant des chiffres du Centre de gestion des catastrophes (DMC) du Sri Lanka.
Selon l’ONU, près de 204.118 personnes sont toujours déplacées dans le pays, concentrées dans les régions de Batticaloa, Ampara et Trincomalee, qui sont les zones plus gravement touchées. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fourni des cliniques mobiles au Ministère sri-lankais de la Santé, des kits sanitaires d’urgence avec du matériel médical et des équipements de base, afin de répondre aux besoins de 20.000 personnes pendant une période de trois mois.
Après les inondations qui ont détruit des rizières et d’autres terres cultivées, le gouvernement du Sri Lanka a mis en garde lundi 17 janvier contre un risque de hausse des prix des denrées alimentaires.
Céline Tabou
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