
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
3 juillet, parUne information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Rompre avec un modèle qui mène à l’impasse
25 juin 2011
« La Chine appelle les divers pays du monde à accroître la coopération pour un développement planétaire de sobriété en carbone », c’est ce qu’indique un article paru sur le site de Radio Chine Internationale.
Le colloque international sur la réponse au changement climatique et le développement économique à faible consommation de carbone s’est ouvert dans la soirée du 22 juin. Le vice-ministre chinois chargé de la Commission nationale du Développement et de la Réforme, Xie Zhenhua, y a indiqué que pour faire face au changement climatique et concrétiser le concept du développement vert et sobre en carbone, les divers pays du monde doivent accroître la coopération et conjuguer leurs efforts pour promouvoir le développement planétaire de sobriété en carbone.
La réponse au changement climatique constitue actuellement un sérieux défi qui se pose devant les divers pays du monde. Le séminaire, d’une durée de trois jours, a été organisé sous les auspices de la Commission nationale chinoise du Développement et de la Réforme et l’Agence onusienne de Développement. Au cours de la réunion, les discussions s’articulent sur trois thèmes majeurs, à savoir les principes politiques et les actions pour un développement faiblement carboné, l’état actuel et le défi pour s’adapter au changement climatique, la construction de la capacité pour répondre au changement climatique en termes de gestion et de financement.
Stratégies différenciées
Le vice-ministre chinois Xie Zhenhua a déclaré que les points essentiels et les modes pour promouvoir le développement vert ne sont pas les mêmes, en raison des conditions réelles différentes et du stade de développement auquel se trouvent les divers pays du monde. Il a souligné la nécessité de respecter le choix de chaque pays respectif et de ne pas recourir à un mode de développement vert unifié. La Chine a pris une série de mesures politiques destinées à réduire les émissions des matières polluantes et à économiser l’énergie. Elle fait aussi beaucoup d’effort pour explorer une voie de développement s’adaptant au contexte chinois.
La Chine est un pays en voie de développement, peuplé de 1,3 milliard d’habitants, et dont le Produit intérieur brut (PIB) par personne vient d’atteindre le niveau de 4.700 dollars. Les disparités se signalent dans le développement d’une région à une autre, d’autant plus que le pays se trouve toujours au stade du développement accéléré de l’urbanisation et de l’industrialisation. De nombreux défis se posent devant la Chine, par exemple le développement économique, l’élimination de la pauvreté, l’amélioration des conditions de vie du peuple, la réponse au changement climatique et la protection de l’environnement, etc.
Ces dernières années, se produisent fréquemment sur notre planète des catastrophes climatiques extrêmes comme la canicule, la sécheresse et l’inondation. Le développement à faible consommation de carbone s’affirme déjà comme une tendance d’importance majeure du développement économique planétaire durant la période prévisible.
La contribution de la Chine
Consciente de ses conditions réelles, la Chine persiste toujours dans le concept de développement à faible consommation de carbone. Elle s’attèle à explorer une voie de développement de sobriété en carbone propre à la Chine en adoptant une série de principes politiques pour économiser les énergies et réduire les émissions des matières polluantes.
D’ici les cinq prochaines années, a affirmé Xie Zhenhua, la Chine redoublera d’efforts et prendra dix mesures pour économiser les énergies et réduire les rejets polluants, optimiser la structure industrielle et énergétique, accélérera la mise au point de nouvelles technologies et leurs applications, afin de répondre activement au changement climatique. Il a souligné en outre l’importance de la coopération internationale en la matière. « Vus sous l’angle de la capacité réelle, les pays développés disposent de puissants moyens économiques et des technologies avancées liées au faible carbone. Cependant, les pays en voie de développement manquent de fonds suffisants et se voient dépourvus des moyens techniques nécessaires. Ces derniers réduiront autant que possible les émissions de gaz à effet de serre tant qu’ils auront acquis le soutien financier et technologique des pays développés ».
Les transferts de technologie
Xie Zhenhua a appelé les pays développés à honorer leurs engagements, à fournir des fonds et transférer des technologies concernées aux pays en développement. « Le développement vert et faiblement carbonisé se réalisera, pourvu que la recherche et le développement des technologies soient accélérés et que ces technologies soient généralisées et mises aux applications industrielles. Les pays développés doivent transférer aux pays en développement des technologies de bas carbone, de sorte que ces technologies avancées servent l’humanité entière et procurent une vitalité durable au développement vert à consommation faible de carbone ».
Une information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Alors que Mayotte subit un enchevêtrement de crises - pauvreté structurelle, dégradation des services publics, conséquences dramatiques du cyclone (…)
La FSU Emploi Réunion tient à rappeler que la mise en œuvre des programmes de transformation de France Travail, issus de la loi Plein Emploi, ne (…)
Mézami, zot i rapèl lo mo kazou ? Mi anparl pa bann vyé roshé konm mwin mé la zénérassion d’apré. Si mi di kazou, kossa zot i oi dann zot (…)
Une délégation du "Collectif des usagers de la ligne Réunion - Comores" a été reçue le 2 juillet à la Région, à la demande de la Présidente (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)