
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
1er avril 2019
Avec 17,5% d’énergies renouvelables consommées en 2017, l’Union européenne est sur la bonne voie pour atteindre ses objectifs en la matière. Cependant plusieurs états membres sont toujours à la traîne.
En 2008, l’UE s’est engagée à faire passer à 20% en 2020 la part de sa consommation finale d’énergie provenant de sources vertes (hydraulique, éolien, solaire, biomasse, etc.) Toutefois, chaque pays possède ses propres objectifs, en fonction de sa situation de départ et de son potentiel, cela peut varier de 10 à 49%.
Onze Etats membres ont déjà dépassé les ambitions fixées, mai "des efforts" restent à faire pour d’autres pays très en retard. D’autant plus que l’UE a prévu pour 2030 une part des énergies renouvelables à 32% de sa consommation d’énergie.
D’après l’Office européen des statistiques, Eurostat, les pays scandinaves (Suède, Finlande et Danemark) sont à la tête du classement européen.
Depuis 2012, plus de la moitié de l’énergie consommée en Suède est issue de sources renouvelables. L’énergie hydraulique assure plus de 40% de la production électrique du pays et les Suédois se chauffent principalement aux biocarburants, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
De son côté, le Danemark dépend de l’éolien pour 43% de ses besoins et le pays se chauffe majoritairement avec des biocarburants et des déchets. A contrario, le Luxembourg (6,4% d’énergies vertes) et les Pays-Bas (6,6%) sont les pays européens qui peinent à intégrer les énergies renouvelables.
La France est elle pointée du doigt pour sa préférence au nucléaire. Quatre ONG ont d‘ailleurs attaqué mi-mars l’Etat français pour "manquements" à son obligation d’action contre le réchauffement climatique. En 2017, la part des énergies renouvelables dans la consommation d’énergie française atteignait 16,3% pour 23% attendus en 2020. Paris a privilégié les investissements dans le nucléaire, dont provient plus de 70% de son électricité.
Le bois et l’hydraulique sont les principales sources d’énergie verte française, devant les biocarburants. Bien que le gouvernement se soit engagé à fermer 14 réacteurs nucléaires d’ici 2035 et à arrêter d’ici 2022 quatre centrales à charbon encore en fonctionnement. Les perspectives restent flous, car ces fermetures auront lieu seulement si la sécurité d’approvisionnement électrique est garantie.
En Allemagne, même si les énergies renouvelables (éolien et solaire) prennent plus de place, elles n’assuraient que 15,5% de l’énergie finale consommée en 2017, pour un objectif de 18% en 2020. Le charbon reste une pierre angulaire de la politique énergétique du pays, suite à sa sortie programmée du nucléaire à l’horizon 2022. 37% de la production d’électricité allemande et plus de 30% de son chauffage proviennent du charbon.
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
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Messages
1er avril 2019, 13:21, par Simendef
La France ce choix total nucléaire avait été un choix que personne n’avait dénoncé, en même en même c’est de pouvoir vendre ce type de moyen de production, ce que refusait d’autres. Le pays s’en vantait même à une époque du 100 % nucléaire, et maintenant quelle solution ? Un nombre de centrale sont en exploitation au delà de leur date limite, mais on ne peut faire autrement. En période de forte consommation EDF achète aux pays frontaliers, à l’exemple de l’Allemagne qui n’a jamais été à 50 % d’énergie produite nucléaire préférant le charbon. Seul pays d’Europe a être à ce niveau nucléaire, la France avec le « baratin » sur les qualités et d’économie du nucléaire. Le ministre actuel de l’environnement avait fait une déclaration à ce sujet une année environ de prendre son poste. Que si le nucléaire était aussi performant qu’on le dit, Edf devrait être au sommet d’une montagne de bénéfice. Et non pas sous une montagne des dettes, et là on n’intègre pas le cout du démantèlement d’une centrale nucléaire. En Allemagne ceci a été entrepris sur une centrale, on estime 5 à 10 ans ? Et les éléments contaminés mis sous containers plombés sont mis provisoirement au fond des puits de 100 m environ. Ceci en attendant qu’on trouve un pauvre pays du tiers monde pour les prendre contre une aumône. Pour revenir dans l’île Takamaka l’étude avait tellement bien faite qu’on remarqué une vingtaine d’année plus tard que plus d’eau se déverse en dehors de la prise. Résultat construction du Takamaka 2. La rivière de l’Est crime contre la nature comme quoi l’énergie fossile à la place du renouvelable est la plus adaptée à la protection de la nature et des humains. Toute cette eau jetée à la mer idem silence politique et même le « bluff » tenant encore après une quarantaine d’années que cette eau pourrait vendue en étant récupérée par des navires vers des pays désertique. Affirmer et croire chose et à côté ne pas dénoncer laisse perplexe dans les décisions et projets d’avenir. Riviere de L’Est les turbines à un niveau d’une centaine de mètres auraient restitué à la nature, la terre par la rivière la possibilité de vie de la nature, plantes et vie animales presque disparus, nos fameux « bichique » de premier choix, on a mis une croix dessus. Eolienne, solaire, coût taux de production réelle occupation de sol ? Et la question du recyclage des matériaux surtout des panneaux solaire. Ou bien on se dit ce sera aux générations futures d’assumer. L’appât du gain et des affabulations ont remplacés la réflexion. Le Danemark n’a jamais eu de nucléaire et la mise en place des éoliennes sur en mer permettront d’atteindre les 50 % à condition que la consommation d’électricité reste stable. Le plus gros moyen d’énergie solaire au monde se trouve au Maroc, l’immensité désertique est favorable et se dire que la technologie de la production est TOTALLEMENT différente soit pas des panneaux comme on voit certains affirmer. La Réunion a besoin de réflexion et de se rendre compte ce que certains voisins font plus intelligemment. Les trois éoliennes mis en place à Vergers Ste Marie qui sont ceux qui s’en souviennent de cette opération financière catastrophe.
1er avril 2019, 22:26
Bravo Ste Suzanne, et que les autres copient ces initiatives. Je pense néanmoins qu’on devrait se lancer dans la géothermie enfin ici aussi. L’énergie locale, inépuisable et gratuite, comme le soleil, le vent est aussi sous nos pieds, tout simplement. D’autres pays et pas des moindres l’ont compris depuis déjà longtemps. Des exemples : le Japon, l’Islande, la Nouvelle-Zélande. Quand on pense qu’ici, ailleurs encore, on pollue pour transporter du fioul, du charbon, pour arrivés ici, les bruler pour au final faire de l’électricité qui servira à chauffer de l’eau dans les cumulus,les marmites à riz ! Quel gâchis ! De plus, il faut savoir qu’à chaque tranformation d’énergie, on en perd un peu, comme dans les transports dans les pylones, les postes de transformation, les contacts... Ce n’est pas vraiment raisonnable, n’est-ce pas ? Le Kwh a un prix identique ici et enmétropôle tant mieux, continuité territoiriale. C’est bien, égalitiare mais il y a mieux, produire local, sans importer quoi que ce soit, au maximum. Et je n’oublies pas l’alimentation, le sel aussi, un comlbe sur une île d’en importer ! ! ! . Il est temps de changer de paradigme. Pour ceux celles qui peuvent et s’intéressent, jeudi prochain, le 4 Avril,dans l’ancienne mairie de St Denis, là où était aussi passé Nicolas Hulot, viendra un climatologue del’académie des sciences, pour une conférence gratuite, à ne pas manquer sion veut en savoir plus, sur nous , notre avenir finalement, si on ne fait rien, encore, hélas, Arthur.