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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Conflit lié au changement climatique
22 janvier 2022
Le HCR, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, a lancé hier un appel de fonds supplémentaire de 59,6 millions de dollars pour apporter un soutien d’urgence à 100 000 réfugiés, déplacés internes et membres des communautés d’accueil au Tchad et au Cameroun, suite aux violences intercommunautaires dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun. Ces violences trouvent leur origine dans un différend entre éleveurs, pêcheurs et agriculteurs au sujet des ressources en eau qui s’amenuisent en raison du changement climatique.
Ces fonds permettront au HCR et à ses partenaires humanitaires et gouvernementaux de répondre aux besoins humanitaires considérables des personnes déplacées suite aux violences et de leur fournir protection et assistance pour les six prochains mois au moins.
Les violences ont éclaté le 5 décembre 2021 dans le village frontalier d’Ouloumsa, dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, à la suite d’un différend entre éleveurs, pêcheurs et agriculteurs au sujet des ressources en eau qui s’amenuisent en raison du changement climatique. La violence s’est ensuite étendue aux villages voisins, faisant 44 morts, plus de 100 blessés et 112 villages incendiés.
En l’espace de deux semaines, des dizaines de milliers de personnes ont fui vers le Tchad voisin ou ont été déplacées à l’intérieur du Cameroun. Les affrontements de décembre ont fait suite à des violences similaires en août 2021 qui ont provoqué le déplacement de quelque 23 000 personnes dans les deux pays.
Le HCR a besoin de 59,6 millions de dollars pour pouvoir fournir des abris et des articles de première nécessité, tels que des couvertures, des nattes et des moustiquaires. Les fonds couvriront également les besoins croissants en eau, en assainissement et en hygiène.
La protection des enfants, la prévention et la réponse à la violence sexuelle et sexiste, les besoins en termes de documentation et la question de l’éducation sont également des priorités. Le HCR estime que près de 9 réfugiés camerounais sur 10 au Tchad sont des femmes et des enfants.
Le HCR continue à collaborer avec les autorités pour concrétiser les efforts de paix et de réconciliation dans la région de l’Extrême-Nord. Cependant, une action urgente est nécessaire pour s’attaquer aux causes profondes du conflit.
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