
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
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Une nouvelle alerte sur les effets des émissions de gaz à effet de serre
24 avril 2014
On connaît Hubert Reeves, ce célèbre astrophysicien, communicateur scientifique et écologiste franco-canadien, qui habite actuellement en France. Ayant commencé sa carrière en tant que chercheur en astrophysique, il pratique aussi la vulgarisation scientifique depuis les années 1970 et s’avère militant écologiste depuis les années 2000. À l’initiative de la Commission Culture de Témoignages, Hubert Reeves a donné plusieurs conférences à La Réunion. Le 20 avril dernier, ’Le Point’ a publié un article où Hubert Reeves rappelle la responsabilité des pays riches dans l’aggravation des effets du réchauffement climatique et où il fait valoir le principe ’pollueur-payeur’. Avant la conférence internationale de la fin de l’année prochaine à Paris sur le réchauffement climatique, nous reproduisons ci-après de larges extraits de ce texte, qui confirme les analyses rappelées sans cesse par Paul Vergès et le Parti Communiste Réunionnais depuis des années. Quels enseignements en tirent les autres responsables politiques du pays et en France ?
Je m’étais engagé à des billets de bonne humeur, mais des exceptions ne sont pas interdites ! En décembre 2015 aura lieu, à Paris, la 21ème conférence internationale sur le réchauffement climatique et ses redoutables conséquences pour l’avenir de l’humanité. Les précédentes ont eu des résultats plutôt décevants : si les engagements ont été minces, les suites données l’ont été encore davantage.
Il est bon ici de rappeler à ce sujet une situation particulièrement dramatique : celle des réfugiés climatiques. À cause de la montée du niveau des océans, des dizaines de milliers de personnes, vivant dans des contrées de basse altitude, assistent impuissantes à l’inondation de leurs territoires et à la salinisation de leurs terres, devenant alors improductives. Ils sont contraints de quitter leurs habitations et de chercher refuge sur d’autres territoires.
Il s’agit en particulier d’îles comme Fidji et Tuamotu dans le Pacifique, les Maldives dans l’océan Indien, l’archipel des San Blas dans l’Atlantique. Il s’agit aussi du Bangladesh : ce plat pays est un delta souvent sinistré par des inondations à répétition, et des millions d’habitants devront être évacués d’ici quelques dizaines d’années. Et, à plus long terme, des villes comme Venise, Londres et New York seront concernées.
Le réchauffement climatique a des répercussions prévisibles même en France, où les risques de submersion marine de zones côtières sableuses sont à craindre (en Aquitaine, par exemple). Mieux vaut anticiper et ne pas urbaniser le littoral, sinon il faudrait ensuite trouver des lieux de repli... [1]
Partout où le problème se pose déjà, des résistances se font sentir de la part des occupants des territoires vers lesquels se tournent les migrants. On peut s’attendre à des luttes analogues au conflit israélo-palestinien. Les causes de ces inondations sont à rechercher du côté du réchauffement climatique, lui-même provoqué par les émissions de gaz à effet de serre, principalement le gaz carbonique, provenant surtout de la combustion d’énergies fossiles (dans les moteurs des véhicules de transports terrestres et aériens), et de la déforestation. C’est dire la responsabilité des pays riches !
Car, de surcroît — il faut le savoir —, la contribution des pays pauvres à l’effet de serre est tout à fait négligeable : celle du Bangladesh, par exemple, est inférieure à 1% !
Ces drames nous touchent et nous impliquent de près : notre pollution fait le tour de la Terre et jette en exil des gens habitant aux antipodes ! Que pouvons-nous faire devant cette situation ? D’abord connaître et reconnaître notre responsabilité directe. Se contenter de demander pardon apaiserait à bon compte notre conscience. Mais ce serait vain et futile, sauf si des actions majeures accompagnent ces pieuses paroles.
Telle que mentionnée au début de cet article, la prochaine conférence climat aura lieu à Paris l’an prochain. Il m’a paru important de nous rafraîchir la mémoire sur notre implication dans ces drames. Faire valoir ici le principe pollueur-payeur. Mettre la pression sur les autorités politiques pour accueillir ces réfugiés et compenser le tort que nous leur faisons. C’est notre devoir d’humanité.
(Source : Le Point)
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Messages
24 avril 2014, 13:18, par corinne
Ce n’est pas le peuple qui cause plus de pollution !!!! Un exemple dans l’île, si on laissait à nouveau, la population élevé des animaux (volailles, cochons, vaches ets) comme avant,ça réduirait les emballages, si on facilitait la mobilité des travailleurs, fait en sorte qu’ils travaillent la ou ils habitent, ça réduirait le nombrs de voitures, si on pronait l’importance de la famille qui est éparpillée aujourd’hui, ça réduirait le nombre de construction d’immeuble, si au lieu d’embaucher un à deux personnes pour faire le travail de dix personnes, on embauchait le nombre vraiment, ça réduirait le chômage, si on arrétait de vivre en dessus de nos moyens, ça réduirait le stress, donc moins de médicaments, moins de malade et plus de sous pour le confort du pays...Il y a des solutions, mais tout ça c’est politique, tout ça, c’est pour entretenir la creme des cremes d’un pays et garder des mas sous leur joug pour mieux les impressionné quand vient le moment de gagner une élection. On peut tout changer, arréter de rendre notre planete malade et dangereuse pour nous même, mais c’est l’argent qui gagne tout le temps et notre vie dépende de la creme des cremes !!!! C’est flippant !!!!!!!!