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Un des phénomènes qui pèseront sur le monde du 21ème siècle
21 janvier 2011, par
Brésil, Sri Lanka, Afrique du Sud et Australie vivent depuis des semaines les pieds dans l’eau. Le monde est en proie aux inondations, qui sont aujourd’hui le résultat des importants changements climatiques. En pleine saison des moussons, les États concernés ont vu les eaux grimper en quelques jours, et les phénomènes climatiques, auparavant gérables, devenir des catastrophes.
Également touchées par des trombes d’eau, les Philippines vivent dans la boue depuis trois semaines. Les autorités ont annoncé plus d’une cinquantaine de morts, et des dégâts matériels s’élevant à près de 38 millions de dollars. Le dernier bilan, diffusé le 18 janvier, fait état de 8.800 personnes ayant dû quitter leurs maisons, et plus de 20.000 sinistrés.
De nouvelles et fortes précipitations sont attendues dans les jours à venir, et face à la violence des vents et des vagues, le gouvernement a interdit les bateaux de pêche de sortir dans le centre et le Sud de l’archipel. Depuis la fin du mois de décembre, les pluies ont touché 144 villes philippines dans lesquelles vivent au total 1,29 million de personnes.
739 morts au Brésil
Les autorités brésiliennes ont annoncé la mort de 739 personnes dans les inondations, qui sévissent depuis une semaine. Le gouvernement a indiqué que 353 avaient perdu la vie à Nova Friburgo, 302 à Teresopolis, 63 à Petropolis et 21 à Sumidouro.
De plus, plus d’une centaine de personnes sont toujours portées disparues et près de 14.000 autres étaient sans abri. Pour tenter de sauver les personnes encore enfouies dans les décombres, près de 1.500 sauveteurs, dont 700 militaires, ont été appelés afin de venir en aide aux survivants dans les villages encore isolés.
50 millions de dollars de dégâts
Face aux inondations qui ont touché près d’un million de Sri-lankais, l’Organisation des Nations Unies a décidé de lancer un appel à l’aide de plus de 50 millions de dollars. La secrétaire générale adjointe de l’ONU pour les Affaires humanitaires, Catherine Bragg, a déclaré lors d’une conférence de presse qu’elle espérait que « les donateurs vont rapidement répondre pour aider les survivants de ces inondations dévastatrices qui ont frappé de nombreuses personnes déjà vulnérables ».
Cette dernière a annoncé que « l’impact économique sur le long terme va être grave et l’assistance sera cruciale pour les efforts de reconstruction ». En effet, depuis le début des inondations, plus de 6.000 maisons ont été détruites et 23.000 partiellement endommagées. De même, plus de 10.000 personnes vivent dans des centres d’accueil dans l’attente d’un relogement.
Des milliers de Sud-africains déplacés
Une quarantaine de personnes sont décédées dans les pluies diluviennes qui se sont abattues sur le Nord de l’Afrique du Sud. Le Centre de gestion des catastrophes nationales a indiqué à l’Agence France Presse que ces intempéries avaient conduit près de 6.000 Sud-africains à être déplacés et 43 familles ont été évacuées d’Ivory Park, au Nord de Johannesburg.
L’armée est en état d’alerte pour évacuer les populations près des principaux barrages, notamment les 7 provinces couvrant 28 municipalités du pays. Parmi elles, la région de Gauteng, qui comprend les municipalités de Sedibeng et West Rand, la Métropole de Tshwane, la ville de Johannesburg et la municipalité métropolitaine d’Ekurhuleni.
De même, les provinces de Free State, KwaZulu-Natal, Mpumalanga, du Nord-Ouest, du Cap septentrional et de Limpopo ont été également été touchées. Le ministre de la Gouvernance coopérative, Sicelo Shiceka, a souhaité que soit publié au Journal officiel l’état de catastrophe naturelle, suite à la loi sur la gestion des catastrophes.
Le nombre de victimes devrait augmenter dans ces pays, car les pluies et glissements de terrain vont persister dans les jours qui viennent. Victimes de l’aggravation climatique, ces états vont payer, tant sur le plan humain que financier, le prix d’une politique d’aménagement du territoire défaillant.
Céline Tabou
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