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Une même voix pour défendre le droit de se développer
22 octobre 2012
Alors que la prochaine Conférence des Nations unies sur le changement climatique prévue à Doha, au Qatar, approche, l’Afrique envisage de mettre en avant son programme de développement dans le contexte du changement climatique.
Alors que la prochaine Conférence des Nations unies sur le changement climatique prévue à Doha, au Qatar, approche, l’Afrique envisage de mettre en avant son programme de développement dans le contexte du changement climatique.
Un des éléments essentiels de la promotion de cet agenda est l’adaptation, qui sera au centre des débats et l’un des principaux sujets qu’abordera l’Afrique à la Conférence de Doha.
La Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique qui se tient depuis vendredi la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, dont l’une des sessions a été consacrée aux points d’achoppement dans le cadre des négociations sur le climat d’une certaine importance pour l’Afrique, a estimé qu’un point important pour l’Afrique à la Conférence de Doha sera d’obtenir des éclaircissements sur les sources publiques de financement de l’adaptation pour parer aux effets néfastes du changement climatique.
6 des 10 pays à plus forte croissance économique
Richard Muyungi, président de l’Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique (SBSTA), dans son discours liminaire à la conférence, a déclaré que les besoins financiers de l’Afrique étaient clairs et précis et que le centre d’intérêt de l’Afrique restait l’adéquation, la gouvernance participative et la fiabilité des sources.
Soutenir l’adaptation à travers des plans et mécanismes nationaux dans le cadre de la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique (CCNUCC) est d’une importance capitale, selon M. Muyungi.
Un rapport du FMI souligne que ces dix dernières années, six des 10 économies à la croissance la plus rapide se trouvaient en Afrique et qu’elles devraient passer à sept au cours des trois prochaines années.
Cependant, on s’inquiète du fait que les véritables problèmes que le changement climatique pose au continent remettent en cause certains de ces acquis.
Baisse des rendements de l’agriculture
Les pays d’Afrique font partie des plus vulnérables aux effets préjudiciables du changement climatique, comme les conditions météorologiques extrêmes et la hausse du niveau des eaux de mer, ce qui cause des pertes et dégâts d’une ampleur à laquelle les pays africains n’ont pas les moyens de faire face.
« Les baisses prévues de rendement dans certains pays pourraient être de 50 pour cent d’ici 2020 et les revenus tirés de la production agricole pourraient également baisser jusqu’à 90 pour cent d’ici 2100. Par conséquent, nos engagements à Doha et au delà devraient assurer une efficacité et une productivité accrues et pour ce faire exploiter les opportunités de limitation des effets du changement climatique », a affirmé M. Muyungi.
Il a souligné l’importance pour l’Afrique d’exploiter les opportunités de limitation du changement climatique, à travers des actions appropriées de nature à promouvoir le programme de développement de l’Afrique.
Il a estimé qu’un engagement accru des pays africains dans le processus de la CCNUCC restait la meilleure approche multilatérale pour lutter contre le changement climatique et surtout pour s’assurer que tous les autres acteurs de l’agenda de développement s’impliquent puisque le changement climatique n’était pas seulement un problème pour l’environnement, mais également pour le développement.
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