
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Les îles face à l’imminence de la catastrophe
4 décembre 2012, par
Dans le cadre de la 18ème Conférence des Nations unies sur le climat à Doha, au Qatar, l’Alliance des Petits États insulaires, représentée par Marlene Moses, a exprimé son inquiétude face à « un désastre aux proportions gigantesques ».
Représentant 28% des pays en développement et 20% de tous les pays membres de l’ONU, soit moins de 1% de la population mondiale, Marlene Moses a rappelé l’importance des négociations de la Conférence sur le climat. « Nous ne pouvons plus prétendre qu’il n’est pas de notre responsabilité de prendre des mesures et de le faire de manière urgente ».
Les États insulaires impactés par les émissions de CO2
Sur fond d’émissions records de CO2 pour l’année 2011, les États insulaires sont les premières victimes des changements climatiques. En effet, la concentration de CO2 dans l’atmosphère a atteint 390 parties par million (ppm) en 2011, selon les chiffres de l’Organisation météorologique mondiale. « Ces milliards de tonnes de CO2 additionnels dans notre atmosphère vont rester pendant des siècles, et réchauffer encore plus notre planète, et cela aura des répercussions sur tous les aspects de la vie sur terre » , a déclaré Michel Jarraud, secrétaire général de l’OMM, le 20 novembre 2012.
L’AOSIS compte 43 membres et observateurs du monde entier, dont 37 sont membres des Nations unies. Cette petite représentativité fait craindre à l’AOSIS une absence totale de considération de la part des pays industrialisés qui « parlent et parlent et parlent » de leurs engagements à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) après la première période 2008-2012, a dénoncé Marlene Moses. Cette dernière a indiqué que depuis sept ans, les négociations n’ont pas abouti à de réelles mesures destinées à réduire les émissions de CO2 et à adapter les États aux changements climatiques.
« Il arrive un moment où il faut faire le travail. Et ce moment est arrivé »
Ainsi les États insulaires font-ils valoir que , « vu leurs moyens d’action limités, l’urgence et la gravité de la situation, ainsi que leur non-responsabilité dans le réchauffement climatique, la communauté internationale doit agir immédiatement et très concrètement pour limiter autant que faire se peut le réchauffement climatique anticipé et doit également veiller à ce qu’une assistance suffisante leur soit accordée pour qu’ils puissent s’adapter avec succès aux impacts négatifs des changements climatiques et de l’élévation du niveau marin », ont expliqué les chercheurs Christian Bouchard, Louis Marrou, Steve Plante, Rolph Payet et Eric Duchemin.
Face à l’urgence de la situation, l’AOSIS et certains pays membres tentent d’interpeller les réticents de la nécessité d’un acte II du Protocole de Kyoto. « Il arrive un moment où il faut faire le travail. Et ce moment est arrivé », a déclaré Marlene Moses dans son discours le 28 novembre. Ce protocole, signé en 1997, est le seul traité légalement contraignant fixant des objectifs chiffrés de réduction d’émissions de GES aux pays industrialisés.
Victimes de la montée des eaux, les îles du Pacifique vivent la moitié de l’année les pieds dans l’eau. « Pour la première fois dans notre Histoire, nous allons voir des territoires disparaître sous les eaux », a indiqué Natacha Bracq, auteure du “Changement climatique et droit des États, l’exemple de Tuvalu”, interrogée par Europe1 (29 novembre 2012). Cette dernière a précisé que ces États souhaitent un accord contraignant en matière de GES basé sur une augmentation de 1,5 degré d’ici à 2020 et non pas 2 degrés comme le souhaite l’Union européenne. De plus, les AOSIS insistent pour une échéance dès la fin 2017, afin de ne pas conserver trop longtemps des objectifs jugés bien trop faibles.
Céline Tabou
New Moore disparue sous les eaux En 2010, un îlot inhabité situé dans la baie du Bengale, au centre d’un conflit territorial entre l’Inde et le Bangladesh, a disparu. Engloutie par les vagues suite à la hausse du niveau de la mer et de l’érosion, l’île appelée « New Moore » en Inde et « South Talpatti » au Bangladesh mesurait 3,5 km de long et 3 km de large. « Il n’y a plus de trace de l’île. Après avoir étudié les images satellitaires, j’en ai eu la confirmation par des pêcheurs », a déclaré à la presse Sugata Hazra, enseignant au Centre d’études océanographiques de l’Université Jadavpur de Calcutta, le 25 mars 2010. Le réchauffement climatique et l’érosion sont responsables de la disparition de l’île. « Le changement climatique a effacé l’origine du conflit », a-t-il commenté, soulignant que les températures dans la région « ont augmenté de 0,4 degré chaque année ». Cinq autres îles sont menacées par la montée des eaux dans la région. D’après les scientifiques, une île plus grande, appelée Lohachara, a disparu dans la baie du Bengale en 1996 après le départ des 4.000 habitants. Le Bangladesh est l’un des pays les plus touchés au monde par le réchauffement climatique, certains scientifiques prédisent qu’il y aura 20 millions de personnes déplacées d’ici 2050, en raison de la hausse du niveau de la mer. |
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