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Jusqu’à 40% de réduction des émissions de CO2 en fonction du résultat de Paris 2015
25 octobre 2014, par
Réunis depuis le 23 octobre à Bruxelles, les dirigeants de l’Union Européenne se sont finalement mis d’accord vendredi sur une politique climatique et énergétique jugée “ambitieuse”.
Cet accord emboîte le pas à la conférence mondiale sur le climat de Paris en 2015, qui devra aboutir à des mesures contraignantes de réduction des gaz à effet de serre. Le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, s’est exprimé sur les réseaux sociaux, dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 octobre, indiquant qu’un « Accord ! », avait été signé.
« Au moins 40 % de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. C’est la politique énergétique et climatique la plus ambitieuse au monde, la plus juste et la plus efficace », a-t-il indiqué. Les Vingt-Huit ont réussi à trouver trois objectifs chiffrés du plan « paquet énergie climat 2030 ».
Il s’agit de la réduction de 40 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 1990, une proportion d’énergies renouvelables portée à 27 % et ainsi que 27 % d’économies d’énergie. Le président du Conseil européen a indiqué que cet accord est « une bonne nouvelle pour le climat, les citoyens, la santé et les négociations internationales sur le climat à Paris en 2015 », assurant que cela allait créer « des emplois durables » et de la “compétitivité”.
Toutefois, suite aux pressions aux pressions de l’Espagne et le Portugal, les Européens ont aussi décidé d’augmenter les “interconnexions” entre réseaux électriques au sein de l’Union, à 15 % d’ici 2030, a précisé Herman Van Rompuy. Les deux pays ont souhaité que l’amélioration des interconnexions fasse partie des outils pour accroître l’indépendance énergétique de l’UE. Cet enjeu est devenu crucial suite à l’annonce des menaces sur l’approvisionnement en gaz russe en Ukraine.
Pour le président français, François Hollande, « l’Europe montre l’exemple ». « C’est un accord que je trouve très ambitieux », a-t-il ajouté. « C’est un compromis, il a fallu du temps, beaucoup de temps ».
Dans un reportage France24 a expliqué que « l’accord trouvé cette nuit pour 2030 est a minima ». En effet, « les États membres n’ont pas cessé d’étaler leurs divisions », a constaté le journaliste. En effet, les pays les plus pauvres, principalement de l’est de l’Europe, dépendent largement des énergies fossiles comme le charbon, tandis que les plus riches s’appuient sur le nucléaire ou sont engagés dans la transition énergétique.
Les pays de l’Est sont parvenus à obtenir les compensations demandées pour moderniser leur production d’électricité. Raison pour laquelle, des mécanismes de soutien pourraient être créés, notamment un fonds alimenté par une petite partie (1 ou 2%) des ventes de quotas d’émission, pour aider les plus pauvres à « moderniser leurs systèmes énergétiques ».
Le niveau d’effort de chacun sera déterminé par le critère du PIB par habitant. Malgré cette ambition, les Européens ne s’imposent aucun objectif rigide, comme ce fut le cas en 2020. Ces derniers ont prévenu que les effets de la crise économique se répercutent toujours sur leurs finances publiques ne leur permettant pas d’assumer les coûts liés à un durcissement des objectifs climatiques.
« Cet accord pourra en fait être ajusté en fonction de l’issue des négociations globales qui auront lieu en 2015 à Paris », a précisé le journaliste de France 24, à Bruxelles. L’UE veut « mettre la pression sur les gros pollueurs, comme la Chine et les États-Unis, qui n’ont pour l’heure aucun objectif chiffré », a assuré ce dernier.
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