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Agir pour sauver les promesses d’améliorer le sort de l’humanité
20 septembre 2023
Alors que les pays les plus vulnérables sont frappés par une avalanche de catastrophes naturelles extrêmes, les représentants de tous les pays du monde se sont engagés le 18 septembre à l’ONU à relancer leurs promesses déçues d’améliorer radicalement le sort de l’humanité.
Dans un contexte de tensions géopolitiques sans précédent depuis des décennies, le sommet sur le développement, qui a ouvert le 18 septembre à l’Assemblée générale des Nations unies à New York, risque d’être rapidement éclipsé par l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
Le sort des 17 Objectifs de développement durable (ODD) adoptés par les Etats membres de l’ONU en 2015 pour construire un avenir meilleur et plus durable d’ici 2030 est pourtant capital pour "plus de la moitié du monde" laissé pour compte, y compris les pays qui subissent les conséquences de la guerre en Ukraine.
Ces objectifs "portent les espoirs, les rêves, les droits et les attentes de personnes du monde entier", a insisté le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. "L’heure est venue de prouver que vous êtes à leur écoute", a-t-il lancé. Ce dernier a pointé du doigt la lutte contre la faim, l’accélération du développement des énergies renouvelables ou l’accès pour tous à un emploi décent.
A mi-parcours, seulement 15% de ces ODD sont en bonne voie, beaucoup stagnent et d’autres régressent. Ainsi, la lutte contre la famille qui touche plus de 8 milliards d’humains peine encore aujourd’hui. "Dans notre monde d’abondance, la faim est une tache choquante sur l’humanité", a insisté Antonio Guterres.
Sortir de la pauvreté, avoir accès à l’éducation, à l’eau potable ou à une énergie propre, être en bonne santé, lutter contre le changement climatique ou parvenir à des sociétés en paix, tous ces objectifs de développement sont largement interdépendants.
Mais ils passent tous à la trappe en raison des multiples crises qui ont déferlé sur le monde ces dernières années : les guerres, la pandémie de Covid-19, les catastrophes climatiques, la guerre en Ukraine, l’inflation mondiale, entre autre.
Dans une déclaration adoptée par consensus lors de ce sommet, les pays de l’ONU se sont engagés à agir "sans attendre" pour concrétiser ce "plan d’action pour l’humanité, la planète, la prospérité, la paix et les partenariats, en ne laissant personne de côté".
"Nous soutenons la réforme de l’architecture financière internationale", ont-ils assuré dans cette optique, alors que de nombreux pays en développement sont paralysés par le poids de leur dette. Mais "est-ce que ce sommet sur les ODD ravivera un sentiment d’+espoir, d’optimisme et d’enthousiasme+, comme il a été présenté ? Je suis plutôt sceptique", avait estimé il y a quelques jours Noam Unger, du cercle de réflexion américain Center for Strategic and International Studies (CSIS).
Les pays du Sud espèrent davantage que des mots, ils attendent des actions concrètes et notamment la mise en place des promesses faites. Face à leurs revendications et au ressentiment, les diplomates occidentaux ont insisté avant le sommet sur le fait que le développement est leur priorité pour cette grand-messe annuelle.
"Il y a un fossé grandissant entre le monde en développement et le monde développé", a noté de son côté un haut diplomate européen. Et il faut "s’assurer que ce fossé ne se creuse pas encore plus", a-t-il ajouté, reconnaissant que la guerre en Ukraine "vole l’attention politique et économique à des problèmes mondiaux urgents comme la sécurité alimentaire, les catastrophes climatiques, les inégalités, l’accès aux financements".
Ces problématiques existentielles, en particulier pour les pays les plus pauvres, risquent de laisser place au président ukrainien. Les nombreux appels à l’aide et les catastrophes naturelles consécutives n’auront pas gain de cause, contrairement à la déclaration du président ukrainien, venant convaincre les pays du Sud de l’aider contre la Russie.
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