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Préparation de Paris-2015
6 juin 2014
La proposition de résolution présentée par Paul Vergès a recueilli le soutien de plus de 40 sénateurs de tous les groupes politiques du Sénat. Cette initiative est une contribution à la recherche de solution pour un problème urgent qui ne pourra se résoudre que par un large consensus. C’est ce que rappelle la Journée mondiale de l’Environnement.
Hier, Témoignages a publié la proposition de résolution déposée au Sénat par Paul Vergès. Elle vise à donner la possibilité de présenter à la Conférence de Paris sur le Climat un plan de développement durable et solidaire pour les îles de notre région, membres de la Commission de l’Océan Indien (COI).
Cette initiative est soutenue par la signature de plus de 40 députés de tous les groupes du Sénat.
Force est de constater que la cause des îles est considérée de la plus haute importance, non seulement par les représentants de la France, organisatrice de la conférence sur le Climat en 2015, que par les instances internationales.
En effet, l’ONU a décrété 2014 « Année internationale des petits États insulaires en développement ». Hier, c’était la Journée mondiale de l’Environnement. Elle a donc eu une dimension toute particulière pour nos îles, situées sur la ligne de front du changement climatique.
Dans son message, Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la Convention cadre des Nations-Unies sur le changement climatique, a déclaré ceci : « L’année internationale des petits états insulaires en développement (PEID) a lieu à un moment important de l’évolution du processus global du changement climatique. 2014 sera l’année où les nations auront besoin de revoir leur ambition à la hausse pour aboutir à un nouvel accord significatif sur le climat à Paris en 2015. » Quant à Ban Ki-moon, il a rappelé que le monde a beaucoup à apprendre de ces pays où vivent plus de 63 millions d’habitants.
Cette Journée mondiale de l’Environnement a permis également aux représentants des peuples des îles de réaffirmer l’urgence d’agir. L’occasion était donnée par une réunion des ministres de l’Environnement à Bonn, dans le cadre des négociations dans la perspective de Paris 2015.
« Nous devons déjà faire face aux effets de la hausse du niveau de la mer », a rappelé Ronald Bhola, ministre de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Environnement du gouvernement de Grenade, île de 350 km2 accueillant 100.000 habitants.
Le réchauffement provoque dans ces îles un déclin des ressources en poissons et donc de l’activité des pêcheurs ainsi qu’une salinisation des réserves d’eau douce, a-t-il souligné. « Nous n’avons pas le temps de traîner des pieds, la science est très claire et nous savons tous ce qu’il faut faire », a plaidé Abdullahi Majeed, ministre de l’Environnement des Maldives, à l’attention des représentants de quelque 195 pays présents jusqu’au 15 juin à Bonn dans les cadres des négociations onusiennes sur le climat.
Les discussions à Bonn portent sur la forme que pourrait prendre le futur accord mondial contre le réchauffement, qui doit être adopté fin 2015 à Paris pour être applicable à partir de 2020, ainsi que sur les moyens de faire davantage d’ici 2020.
L’objectif global est de contenir le réchauffement à 2°C par rapport à l’époque pré-industrielle, niveau permettant selon la science d’éviter les dommages les plus graves du dérèglement climatique, alors que les émissions actuelles nous emmènent vers un réchauffement de l’ordre de 4°C. Les 52 petits pays insulaires sont les premiers menacés bien qu’ils émettent, à eux tous, moins de 1% des émissions globales de gaz à effet de serre, ont rappelé les ministres.
Ces pays de la ligne de front peuvent porter des solutions exemplaires pour l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. C’est un des sens de la proposition de résolution de Paul Vergès, une initiative venant d’un parlementaire de La Réunion.
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Messages
12 juin 2014, 23:50, par Le Blanc
Les Îles jusqu’à maintenant ne connaissent pas les nouveaux développement de catastrophes que les continents rencontrent à cause de leur espace moins exposé. Par contre d’autres phénomènes se ressentent, alors que les 31 ° en Guadeloupe étaient supportables à mon arrivée en 2007, sous cette même température, il semble plus brûlant sur la peau.