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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
22 novembre 2022
Lors de la conférence des Nations unies sur les changements climatiques COP27 qui s’est achevée dimanche matin à Charm el-Cheikh, Égypte, la Commission européenne a fait preuve d’ambition et de flexibilité pour garder à portée de main l’objectif de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré.
Après une semaine de négociations difficiles, un effort européen fort et uni a permis de conclure un accord pour maintenir en vie les objectifs de l’accord de Paris. Le rôle de médiateur de l’UE a également contribué à la mise en place de nouveaux mécanismes de financement équilibrés, avec une base de donateurs élargie, pour aider les communautés vulnérables à faire face aux pertes et aux dommages causés par le changement climatique.
La présidente Ursula von der Leyen a déclaré à propos des résultats de la COP27 :
« La COP27 a confirmé que le monde ne reviendra pas sur l’accord de Paris, et constitue une étape importante vers la justice climatique. Cependant, la science montre clairement qu’il faut aller beaucoup plus loin pour que la planète reste vivable. Il est tout aussi clair que l’UE a joué un rôle clé à Charm el-Cheikh et qu’elle ne relâchera pas son action nationale et internationale en faveur du climat. Je remercie le vice-président exécutif Timmermans et notre équipe de négociation d’avoir travaillé nuit et jour pour débloquer ces discussions difficiles et éviter un effondrement du processus de la CCNUCC qui restera critique. Notre équipe de négociation a su instaurer la confiance avec nos partenaires du monde entier, en restant ferme sur l’atténuation et en faisant preuve de flexibilité sur le financement des pertes et dommages causés par le changement climatique. »
Le vice-président exécutif Frans Timmermans, principal négociateur de l’UE à la COP27, a également déclaré :
« C’est la décennie décisive pour notre planète. Plus d’efforts sont nécessaires pour maintenir le changement climatique dans les limites fixées par l’accord de Paris, afin que nous ayons encore une chance d’atteindre 1,5. Lors de la COP27, l’UE a dû se battre jour et nuit pour défendre le niveau d’ambition nécessaire. Malgré les tentatives répétées de saper les progrès réalisés à Glasgow l’année dernière, nous avons tenu bon afin que la COP de l’année prochaine puisse à nouveau relever les ambitions. Nous avons également innové en matière de réponses financières à la crise climatique. La création d’un nouveau fonds sur les pertes et dommages axé sur les pays les plus vulnérables nous permet d’entamer une conversation sur l’élargissement des sources de financement au-delà de la base traditionnelle des donateurs. Pour faire face à la crise climatique, nous devons transférer des trillions et tous les flux financiers vers nos objectifs climatiques communs. »
En ce qui concerne l’atténuation, les parties à la conférence des Nations unies sur le changement climatique sont convenues que la limitation du réchauffement de la planète à 1,5 degré nécessite des réductions rapides, profondes et durables des émissions mondiales de gaz à effet de serre, en les réduisant de 43 % d’ici à 2030 par rapport au niveau de 2019.
Elles ont également reconnu que cela nécessite une action accélérée au cours de cette décennie critique et ont réitéré l’appel du Pacte de Glasgow pour le climat afin que les contributions déterminées au niveau national (CDN) soient mises à jour pour s’aligner sur l’objectif de température de l’Accord de Paris, d’ici la fin de 2023.
Elles ont également affirmé que le Pacte climatique de Glasgow guidera un nouveau Programme de travail d’atténuation afin d’encourager les parties à aligner leurs objectifs et leurs actions vers zéro émission nette.
En ce qui concerne les pertes et dommages, les parties ont décidé d’établir de nouvelles modalités de financement pour aider les pays en développement qui sont particulièrement vulnérables aux effets néfastes du changement climatique. Celles-ci incluent un nouveau fonds axé sur les pertes et dommages, qui sera mis en place par un comité transitoire et examinera également l’élargissement des sources de financement.
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