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Plusieurs questions restent à régler
13 décembre 2014, par
La conférence internationale sur le climat à Lima, au Pérou, s’est officiellement terminée hier, après deux semaines de négociations. Les pays participants devaient s’entendre sur un accord servant de base au sommet de Paris en 2015.
Plusieurs points coincent à la conférence de Lima sur le climat, comme les contributions nationales ; la limite de la hausse des températures ; le paiement d’une sanction par les pays pollueurs ; la responsabilité des pays développés et la création d’un fond vert en aide aux pays du Sud.
Malgré l’urgence de la situation, les pays peinent à s’engager pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, dont les contributions nationales doivent être fournies en 2015, avant la conférence de Paris en décembre. Cette rencontre devra aboutir à un accord engageant tous les pays afin de permettre une action commune d’ici à 2020, date à laquelle le protocole de Kyoto expirera.
Si l’accord de Lima est signé, les contributions nationales devraient permettre de tenir l’objectif global, visant à limiter la hausse des températures à 2°. Pour cela, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) préconise de réduire de 40 % à 70 % les émissions mondiales de C02 d’ici à 2050.
Après dix jours de négociations des questions ne sont pas tranchées, notamment la volonté des pays du Sud d’inclure les actions d’adaptation au changement climatique dans les contributions nationales. En plus de cet aspect, une autre question reste en suspend : la responsabilité des pays développés dans la dégradation du climat depuis plusieurs siècles.
Pour John Kerry, secrétaire d’État américain, la question est tranchée. Ce dernier a appelé les pays en développement, dont la Chine et l’Inde, à agir contre le réchauffement climatique. Pour lui, « les nations industrialisées ont un rôle majeur à jouer dans la réduction des émissions mais cela ne veut pas dire que les autres pays n’ont aucune obligation d’agir et peuvent répéter les erreurs du passé », a-t-il déclaré devant les représentants de près de 190 pays.
« Les financements sont une grosse pièce du puzzle et pourraient changer le cadre général » des discussions, a indiqué, Rahman Mehta de l’ONG indienne Vasudha Foundation, membre du Climate action network, lors d’un point presse. En effet, les pays en voie de développement demandent une meilleure visibilité sur le financement du Fonds vert pour le climat. Et notamment, sur la manière dont les pays du Nord vont tenir leurs engagements, acté en 2009, d’atteindre 100 milliards de dollars d’aide annuelle en 2020.
Les canaux de financement destinées à atteindre ce montant restent incertains. En effet, même si la capitalisation pour le Fonds vert pour 2015-2018 a désormais dépassé les 10 milliards de dollars, le compte n’y est pas. En l’absence « du soutien financier nécessaire » pour pouvoir réaliser leur engagement, « beaucoup de pays ne sont pas prêts à accepter que leurs engagements soient passés à la loupe », a expliqué Rahman Mehta. Cependant, il est « absolument indispensable » d’atteindre les objectifs du Fonds vert a rappelé vendredi 12 décembre Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères. « On n’a pas le choix : il n’y a pas de plan B, parce qu’il n’y a pas de planète B », a-t-il ajouté, reprenant une formule du secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon.
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