Des médias tels que Fratmat.info (Côte d’Ivoire) ont mis en avant l’importance de l’engagement des nations riches envers les pays vulnérables. Ils ont salué le triplement des financements climatiques à 300 milliards de dollars US par an d’ici 2035, mais ont critiqué l’absence de mesures concrètes pour sortir des énergies fossiles.
Des plateformes comme Jeune Afrique et Actu Cameroun ont souligné la concrétisation du Fonds pour les pertes et dommages, une étape saluée pour compenser les catastrophes subies par les nations africaines, bien que le montant collecté reste insuffisant au regard des besoins croissants.
Les articles malgaches, notamment de Moov Madagascar, ont mis en lumière la participation active de Madagascar. Le pays, avec le Bhoutan, le Suriname et le Panama, a créé l’alliance G-Zero, regroupant des pays séquestrant plus de carbone qu’ils n’en émettent. Cette initiative vise à obtenir une reconnaissance pour leur rôle unique dans l’atténuation du réchauffement climatique.
Madagascar a été particulièrement actif avec l’inauguration d’un pavillon national pour promouvoir ses solutions climatiques, mettant en avant ses efforts de préservation de ses forêts et sa vulnérabilité face aux changements climatiques (source : Moov.mg).
Plusieurs médias, comme Le Matinal (Mauritanie), ont rapporté des critiques des pays insulaires et des PMA (pays les moins avancés) sur les efforts financiers jugés insuffisants. Ils ont également noté le mécontentement face à l’absence d’un consensus sur la sortie des énergies fossiles, essentielle pour limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Ces médias ont globalement salué les avancées de la COP29 tout en appelant à davantage d’efforts et d’engagements concrets pour répondre aux défis de la crise climatique. Les attentes sont élevées pour la COP30 prévue au Brésil.