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Pour l’action des gouvernements
16 avril 2015
Bien que l’approvisionnement de la planète en eau doive suffire pour une population mondiale de neuf milliards de personnes en 2050, la poursuite de la surconsommation et l’impact du changement climatique vont diminuer sa disponibilité dans plusieurs des nombreuses régions les plus démunies de la planète, selon un nouveau rapport de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (Food and Agriculture Organization, FAO).
Le rapport, intitulé « Vers un avenir sécurisé en eau et en nourriture », a été lancé mardi par la FAO, en collaboration avec le Conseil mondial de l’Eau.
Le rapport exhorte les politiques gouvernementales et l’investissement public et privé afin d’assurer que les cultures, le bétail et le poisson soient produits de manière durable et de telle sorte que le Conseil puisse aussi tendre à sauvegarder les ressources en eau.
Le rapport a aussi mis en garde que, sans ces mesures, les efforts pour réduire la pauvreté, augmenter les revenus et assurer la sécurité alimentaire dans de nombreux pays en développement, seront de plus en plus difficiles.
La directrice générale adjointe de la FAO, chargée des Ressources naturelles, Mme Maria Helena Semedo, a déclaré dans un communiqué sur le rapport que « l’eau, en tant qu’élément irremplaçable pour arriver à cette fin, subit déjà une pression à cause de la demande croissante d’autres utilisations, exacerbée par la mauvaise gouvernance, l’insuffisance des capacités et les insuffisances notées dans les investissements ».
Elle a déclaré : « Dans une ère de changements accélérés sans précédent dans notre histoire, notre capacité à fournir une nourriture suffisante, saine et nutritive durable et équitable est plus pertinente que jamais ».
Elle a affirmé que des statistiques de la FAO ont montré que d’ici 2050, plus de 60 pour cent de nourriture supplémentaire seront nécessaires pour nourrir le monde, ce qui met une pression supplémentaire sur l’approvisionnement en eau au moment où l’agriculture mondiale s’attèle à répondre à cette demande.
Mieux gérer l’eau
Selon elle, l’agriculture constitue déjà l’activité qui nécessite le plus d’eau, ce qui représente dans de nombreux pays environ les deux tiers ou plus de l’approvisionnement provenant de rivières, des lacs et des aquifères.
« C’est un moment opportun pour revoir nos politiques publiques, nos cadres d’investissement, nos structures de gouvernance et nos institutions, nous entrons dans l’ère de développement post-2015 et nous devrions la marquer par des engagements solides », a souligné Mme Semedo.
Dans son rapport, la FAO a également appelé les gouvernements à aider les agriculteurs à accroître la production alimentaire en utilisant les ressources en eau de plus en plus limitées et en leur donnant les moyens pour mieux gérer les risques associés à la pénurie d’eau. En outre, les droits d’eau, indique le rapport, doivent être alloués de manière équitable et inclusive.
Il convient de rappeler que la situation de l’eau dans le monde a récemment été amplifiée dans le rapport 2015 de l’Onu du développement mondial de l’Eau, publié par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) et à temps pour la Journée mondiale de l’eau célébrée chaque année le 22 mars.
Selon l’Unesco, la planète devra faire face à un déficit de 40 pour cent pour l’approvisionnement en eau en 2030 si la communauté internationale n’améliore pas « de manière considérable » la gestion de l’approvisionnement en eau.
L’agence onusienne indique que la demande en eau va monter en flèche de 55 pour cent en 2050, au moment où 20 pour cent des eaux souterraines mondiales sont déjà surexploitées.
Toutefois, la FAO a noté que des améliorations sur les perspectives d’ensemble étaient possibles.
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