
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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L’OMM appelle à une meilleure surveillance d’un cycle de l’eau de plus en plus irrégulier
13 octobre 2023
Selon un nouveau rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) qui contient une évaluation détaillée des ressources en eau de la planète, le cycle hydrologique s’emballe sous l’effet du changement climatique et des activités humaines, selon le communiqué de l’organisation onusienne.
Les épisodes de sécheresse et de précipitations extrêmes se soldent par un lourd bilan humain et économique. La fonte de la neige, de la glace et des glaciers vient accroître des risques tels que les inondations et menace la sécurité de l’approvisionnement en eau à long terme pour des millions de personnes.
Pourtant, on en sait trop peu sur l’état réel des ressources en eau douce de la planète. Le Rapport 2022 de l’OMM sur l’état des ressources en eau dans le monde signale que nous ne pouvons gérer ce que nous ne mesurons pas. Il appelle à un changement fondamental de politique.
Il est nécessaire d’améliorer la surveillance et l’évaluation des ressources en eau ainsi que le partage des données et la collaboration transfrontalière dans ce domaine, ce qui implique des investissements supplémentaires. D’après le Rapport, de telles activités sont essentielles pour aider la société à faire face à l’augmentation des extrêmes hydrologiques (trop ou trop peu d’eau).
L’édition 2022 de ce rapport s’inscrit dans le prolongement du rapport pilote publié l’année dernière. Elle contient des informations plus détaillées sur des variables hydrologiques importantes telles que les eaux souterraines, l’évaporation, l’écoulement fluvial, le stockage des eaux terrestres, l’humidité du sol, la cryosphère (eau gelée), les débits entrants aux réservoirs et les catastrophes hydrologiques. Pour évaluer les ressources en eau à l’échelle mondiale, ses auteurs ont utilisé des données in situ ainsi que des données de télédétection satellitaire et des simulations de modélisation numérique.
« Ce rapport de l’OMM offre une vue d’ensemble complète et cohérente des ressources en eau dans le monde, en soulignant l’influence des changements climatiques, environnementaux et sociétaux », a déclaré le Secrétaire général de l’OMM, M. Petteri Taalas.
« Les glaciers et la couverture glaciaire reculent sous nos yeux. La hausse des températures a accéléré – mais aussi perturbé – le cycle de l’eau. Notre atmosphère plus chaude contient plus d’humidité. Nous assistons à des inondations et des épisodes de précipitations bien plus importants. À l’autre extrême, il y a davantage d’évaporation, des sols secs et des sécheresses plus intenses », a-t-il ajouté.
« L’écrasante majorité des catastrophes est liée à l’eau, c’est pourquoi la gestion et la surveillance de l’eau sont au cœur de l’Initiative mondiale en faveur d’alertes précoces pour tous. Un grand nombre des pays choisis pour recevoir en priorité un soutien au titre de cette initiative ont subi des inondations ou des sécheresses majeures en 2022. Aucun pays ne disposait de données hydrologiques fiables et à jour susceptibles de soutenir la prise de décision fondée sur des faits ainsi que des actions rapides », a expliqué M. Taalas.
« Ce rapport appelle à accroître le partage des données, pour communiquer des alertes précoces claires, et à concevoir des politiques de gestion de l’eau mieux coordonnées et unifiées, des éléments qui font partie intégrante de l’action climatique », a-t-il insisté.
Il réunit les contributions de dizaines d’experts et complète le rapport phare de l’OMM sur l’état du climat mondial, de façon que les décideurs disposent d’informations synthétiques et globales.
Actuellement, 3,6 milliards de personnes ont un accès insuffisant à l’eau au moins un mois par an. Elles devraient être plus de 5 milliards d’ici à 2050, selon ONU-Eau.
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